01
02172
le langage qui l'exprime – et si il se
rencontre en ces lignes
03 des mots comme "méli-mélo , on les excuse tout de même en
04 faveur de ce Chrysanthèmes automnales et héraldiesque qui
05 apparaissent à travers cette prose flasque assommante
06 et impuissante
07Mallarmé raconte que petit quand on le menait chaque Dimanche
08 à la grande messe on lui racommandait tant de baisser les yeux
09 à l'Élévation, qu'il en a conservé l'idée,qu'à ce moment
10on montrait "quelque chose de pas bien .
11Les aises ? ? ? ? ? de tristesse subies durant ces jours sont faites de mauvais
12travail, de malaise
sentimental, d'impuissance de saisons
13quelque chose de vague, de déprimant et de lassant.
14J'ai des périodes d'amicalité mauvaise, où je deviens soupçonneux
15 et où les relations habituelles
s'interprêtent défavorablement
16 malveillantes sans raison, où l'absence toute naturelle
172
le langage qui l'exprime – et si il se
rencontre en ces lignes des mots comme "méli-mélo", on les excuse tout de même en faveur de ces chrysanthèmes automnales et qui apparaissent à travers cette prose flasque, assommante,
et impuissante.
Mallarmé raconte que, petit, quand on le menait chaque dimanche à la grande messe, on lui racommandait tant de baisser les yeux à l'Élévation, qu'il en a conservé l'idée qu'à ce moment, on montrait "quelque chose de pas bien".
Les aises ? ? ? ? ? de tristesse subies durant ces jours sont faites de mauvais travail, de malaise sentimental, d'impuissance de saison, quelque chose de vague, de déprimant et de lassant.
J'ai des périodes d'amicalité mauvaise, où je deviens soupçonneux et où les relations habituelles s'interprêtent défavorablement, malveillantes sans raison, où l'absence toute naturelle
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le langage qui l'exprime – et si il se
rencontre en ces lignes
03 des mots comme "méli-mélo , on les excuse tout de même en
04 faveur de ce Chrysanthèmes automnales et héraldiesque qui
05 apparaissent à travers cette prose flasque assommante
06 et impuissante
07Mallarmé raconte que petit quand on le menait chaque Dimanche
08 à la grande messe on lui racommandait tant de baisser les yeux
09 à l'Élévation, qu'il en a conservé l'idée,qu'à ce moment
10on montrait "quelque chose de pas bien .
11Les aises ? ? ? ? ? de tristesse subies durant ces jours sont faites de mauvais
12travail, de malaise
sentimental, d'impuissance de saisons
13quelque chose de vague, de déprimant et de lassant.
14J'ai des périodes d'amicalité mauvaise, où je deviens soupçonneux
15 et où les relations habituelles
s'interprêtent défavorablement
16 malveillantes sans raison, où l'absence toute naturelle
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le langage qui l'exprime – et si il se
rencontre en ces lignes des mots comme "méli-mélo", on les excuse tout de même en faveur de ces chrysanthèmes automnales et qui apparaissent à travers cette prose flasque, assommante,
et impuissante.
Mallarmé raconte que, petit, quand on le menait chaque dimanche à la grande messe, on lui racommandait tant de baisser les yeux à l'Élévation, qu'il en a conservé l'idée qu'à ce moment, on montrait "quelque chose de pas bien".
Les aises ? ? ? ? ? de tristesse subies durant ces jours sont faites de mauvais travail, de malaise sentimental, d'impuissance de saison, quelque chose de vague, de déprimant et de lassant.
J'ai des périodes d'amicalité mauvaise, où je deviens soupçonneux et où les relations habituelles s'interprêtent défavorablement, malveillantes sans raison, où l'absence toute naturelle