02Puget ressemble à Latour, Latour à
Baudelaire, Baudelaire
03 à Girardin, peut-être sont-ils les formes d'une même essence
04 départie mal à propos dans les
siècles.
05Les gens avec qui j'ai pasé au collège mon adolescence étaient ou
06 des gommeux sans peur, ou des âmes académiques et continueuseset brouteuses de conventions
07 et des trois cents jeune hommes que j'ai connus un seul était mon
08pair.
F. V. G.
09Il y a une joie douloureuse qui s'appelle le bonheur d'être haï
10Dans la Vie nous attendons la mort et dans la mort, nous attendons
11 la vie.
12La jeunesse est l'illusion de la brièveté des heures, la vieillesse est la
13 croyance à leur longueur
14De Loti, je lis ce récit qui s'appelle
L'Impératrice Printemps
15 Cette fois la merveille du sujet l'a conduit a quelque chose de
16 presque beau – le ....... vaut par
lui-même plus que par
Puget ressemble à Latour, Latour à Baudelaire, Baudelaire à Girardin : peut-être sont-ils les formes d'une même essence départie mal à propos dans les siècles.
Les gens avec qui j'ai pasé au collège mon adolescence étaient ou des gommeux sans peur, ou des âmes académiques et brouteuses de conventions ; et des trois cents jeunes hommes que j'ai connus, un seul était mon pair : Francis Vielé-Griffin.
Il y a une joie douloureuse qui s'appelle le bonheur d'être haï.
Dans la vie, nous attendons la mort et dans la mort, nous attendons la vie.
La jeunesse est l'illusion de la brièveté des heures ; la vieillesse est la croyance à leur longueur.
De Loti, je lis ce récit qui s'appelle L'Impératrice Printemps. Cette fois, la merveille du sujet l'a conduit a quelque chose de presque beau – le ....... vaut par lui-même plus que par
02Puget ressemble à Latour, Latour à
Baudelaire, Baudelaire
03 à Girardin, peut-être sont-ils les formes d'une même essence
04 départie mal à propos dans les
siècles.
05Les gens avec qui j'ai pasé au collège mon adolescence étaient ou
06 des gommeux sans peur, ou des âmes académiques et continueuseset brouteuses de conventions
07 et des trois cents jeune hommes que j'ai connus un seul était mon
08pair.
F. V. G.
09Il y a une joie douloureuse qui s'appelle le bonheur d'être haï
10Dans la Vie nous attendons la mort et dans la mort, nous attendons
11 la vie.
12La jeunesse est l'illusion de la brièveté des heures, la vieillesse est la
13 croyance à leur longueur
14De Loti, je lis ce récit qui s'appelle
L'Impératrice Printemps
15 Cette fois la merveille du sujet l'a conduit a quelque chose de
16 presque beau – le ....... vaut par
lui-même plus que par
Puget ressemble à Latour, Latour à Baudelaire, Baudelaire à Girardin : peut-être sont-ils les formes d'une même essence départie mal à propos dans les siècles.
Les gens avec qui j'ai pasé au collège mon adolescence étaient ou des gommeux sans peur, ou des âmes académiques et brouteuses de conventions ; et des trois cents jeunes hommes que j'ai connus, un seul était mon pair : Francis Vielé-Griffin.
Il y a une joie douloureuse qui s'appelle le bonheur d'être haï.
Dans la vie, nous attendons la mort et dans la mort, nous attendons la vie.
La jeunesse est l'illusion de la brièveté des heures ; la vieillesse est la croyance à leur longueur.
De Loti, je lis ce récit qui s'appelle L'Impératrice Printemps. Cette fois, la merveille du sujet l'a conduit a quelque chose de presque beau – le ....... vaut par lui-même plus que par