Politique éditoriale

Respect des droits

Le projet ENCHRE a bénéficié de la généreuse autorisation des différents ayants droit institutionnels (Bibliothèque de l'Institut de France et Bibliothèque Nationale de France), détenteurs des droits moraux, patrimoniaux et commerciaux, pour la publication des textes et la reproduction des fac-similés.

L'équipe rend hommage à François Broche et à David J. Niederauer, les premiers éditeurs des Cahiers d'Henri de Régnier, dont les travaux sont un précieux appui pour la présente édition (Les Cahiers inédits (1887-1936), Pygmalion – Gérard Watelet, 2002).

Accessibilité

Les données de transcription sont mises à la disposition du public (sans restriction d’accès) via l'interface de consultation du présent site; les facsimilés des manuscrits originaux le sont dans le respect des droits patrimoniaux, par un système de liens renvoyant aux bibliothèques numériques des institutions détentrices de ces droits (Gallica pour la BnF et bibliothèque numérique de la BI (ex-Minerva) pour l’Institut).

L’ensemble des données de transcription (données textuelles et métadonnées) seront moissonnables et réutilisables.

Contributions

Afin de rendre à chacun la reconnaissance qui lui est due dans ce travail collectif, le rôle de chaque contributeur est consigné dans l'en-tête (header) de chaque fichier xml.

Chaque contribution critique (annotation, notice) est également signée des initiales du chercheur qui en a réuni les éléments et assuré la rédaction.

Principes d'organisation de la présente édition

L'édition adopte les divisions opérées par Henri de Régnier. Afin de rendre compte de la matérialité du corpus, l'édition est organisée selon deux rubriques, "Cahiers" et "Années", respectant les deux principes d'organisation successivement adoptés par l'auteur.

Au sein de chaque rubrique sont distinguées les différentes unités matérielles qui composent ce vaste ensemble, suivant la chronologie de leur rédaction. La numérotation des Cahiers reprend ainsi celle qu'avait adoptée l'auteur lui-même, ce qui en explique le caractère lacunaire, les cahiers I à III n'ayant pas été retrouvés.