02Il y a une justice d'esprit qui consiste à reconnaître
03 aux œuvres une beauté autre que celle que
nous y désirerions.
04D'une famille antérieurement tranquille, provinciale, établie, puis
05 brusquement agitée en
émigrations à l'époque révolutionnaire
06 je suis né plus tard à un moment d'accalmie et de repos...
07L'art est la mise en œuvre rationelle et nécessaire de Soi-même.
08Reparcour le Musée du Louvre. onIl est amusant à revoir de deux
09 façons soit en un rapide passage avec un cursif coup d'œil aux
10 murs de toiles d'où le regard accroche,un figure, un pli de drapeau
11 une allure, une orfèvrerie quelconque, vision fragmentaire
12
brusque, ou en une contemplation attardé devant quelque
13 tableau préféré, une physionomie de jadis qu'on se commente à soi-même longuement scrutativement.
14Ces salles froides de la sculpture antique, je les aime pour leur
15
solitud, le jour blanc qui tombe des hautes fenêtres et trempe
16 d'une clarté humide les passages
sonores, pour les attitud de
17 pierre qui se dressent en un séculaire et éternel silence
Il y a une justice d'esprit qui consiste à reconnaître aux œuvres une beauté autre que celle que nous y désirerions.
D'une famille antérieurement tranquille, provinciale, établie, puis brusquement agitée en émigrations à l'époque révolutionnaire, je suis né plus tard à un moment d'accalmie et de repos...
L'art est la mise en œuvre rationnelle et nécessaire de soi-même.
Reparcour le Musée du Louvre. Il est amusant à revoir de deux façons : soit en un rapide passage, avec un cursif coup d'œil aux murs de toiles d'où le regard accroche une figure, un pli de drapeau, une allure, une orfèvrerie quelconque, vision fragmentaire brusque, ou en une contemplation attardée devant quelque tableau préféré, une physionomie de jadis qu'on se commente à soi-même longuement, scrutativement.
Ces salles froides de la sculpture antique, je les aime pour leur solitude, le jour blanc qui tombe des hautes fenêtres et trempe d'une clarté humide les passages sonores, pour les attitudes de pierre qui se dressent en un séculaire et éternel silence,
02Il y a une justice d'esprit qui consiste à reconnaître
03 aux œuvres une beauté autre que celle que
nous y désirerions.
04D'une famille antérieurement tranquille, provinciale, établie, puis
05 brusquement agitée en
émigrations à l'époque révolutionnaire
06 je suis né plus tard à un moment d'accalmie et de repos...
07L'art est la mise en œuvre rationelle et nécessaire de Soi-même.
08Reparcour le Musée du Louvre. onIl est amusant à revoir de deux
09 façons soit en un rapide passage avec un cursif coup d'œil aux
10 murs de toiles d'où le regard accroche,un figure, un pli de drapeau
11 une allure, une orfèvrerie quelconque, vision fragmentaire
12
brusque, ou en une contemplation attardé devant quelque
13 tableau préféré, une physionomie de jadis qu'on se commente à soi-même longuement scrutativement.
14Ces salles froides de la sculpture antique, je les aime pour leur
15
solitud, le jour blanc qui tombe des hautes fenêtres et trempe
16 d'une clarté humide les passages
sonores, pour les attitud de
17 pierre qui se dressent en un séculaire et éternel silence
Il y a une justice d'esprit qui consiste à reconnaître aux œuvres une beauté autre que celle que nous y désirerions.
D'une famille antérieurement tranquille, provinciale, établie, puis brusquement agitée en émigrations à l'époque révolutionnaire, je suis né plus tard à un moment d'accalmie et de repos...
L'art est la mise en œuvre rationnelle et nécessaire de soi-même.
Reparcour le Musée du Louvre. Il est amusant à revoir de deux façons : soit en un rapide passage, avec un cursif coup d'œil aux murs de toiles d'où le regard accroche une figure, un pli de drapeau, une allure, une orfèvrerie quelconque, vision fragmentaire brusque, ou en une contemplation attardée devant quelque tableau préféré, une physionomie de jadis qu'on se commente à soi-même longuement, scrutativement.
Ces salles froides de la sculpture antique, je les aime pour leur solitude, le jour blanc qui tombe des hautes fenêtres et trempe d'une clarté humide les passages sonores, pour les attitudes de pierre qui se dressent en un séculaire et éternel silence,