01
02163v
se divisent leurs lisses troncs ophidiens, réunis entre eux par
03
la guirlande courte et tordue d'un vivace et noir lierre.
04
Cette vaste som Une vaste sommité de verdure – jaune à ce
05 mois, couvre
couvre et domine l'eau tranquille du long bassin, tellement jonché
06 de
feuilles mortes, que où elle apparaît semblese creuse un trous mystérieux
07 d'une profondeur illimitée tant elle est de l'ombre –
08En la fontaine où son luxe suranné étage un plateaux d'eaux
09 et ses mousses humides, jusqu'au groupe amoureux et
10marmoréen qui s'étreint sous la menace
frontale du gigantesque
11
Poliphème de bronze qui les guette de haut ! brutal et maître
12Toute l'après-midi avec Kahn au café riche. C'est morne et crépusculaire
13 la tente est haussée et les passants derrière la vitre défilent dans du gris
14 et du pâle,
incessants et toujours les mêmes, en leur effacement d'êtres
15 d'affaires et de plaisirs. Et là, longuement nous causons, de tout
16 et nous sortons dans la nuit qui commence et que stellent les gaz
163v
se divisent leurs lisses troncs ophidiens, réunis entre eux par
la guirlande courte et tordue d'un vivace et noir lierre.
Une vaste sommité de verdure – jaune à ce mois,
couvre et domine l'eau tranquille du long bassin, tellement jonché de
feuilles mortes, que où elle apparaît se creuse un trou mystérieux d'une profondeur illimitée, tant elle est de l'ombre.
En la fontaine où son luxe suranné étage un plateau d'eau et ses mousses humides, jusqu'au groupe amoureux et marmoréen qui s'étreint sous la menace frontale du gigantesque Polyphème de bronze qui les guette de haut, brutal et maître.
Toute l'après-midi avec Kahn au Café Riche. C'est morne et crépusculaire, la tente est haussée et les passants derrière la vitre défilent dans du gris et du pâle, incessants et toujours les mêmes, en leur effacement d'êtres d'affaires et de plaisirs. Et là, longuement, nous causons, de tout, et nous sortons dans la nuit qui commence et que stellent les gaz.
01
02163v
se divisent leurs lisses troncs ophidiens, réunis entre eux par
03
la guirlande courte et tordue d'un vivace et noir lierre.
04
Cette vaste som Une vaste sommité de verdure – jaune à ce
05 mois, couvre
couvre et domine l'eau tranquille du long bassin, tellement jonché
06 de
feuilles mortes, que où elle apparaît semblese creuse un trous mystérieux
07 d'une profondeur illimitée tant elle est de l'ombre –
08En la fontaine où son luxe suranné étage un plateaux d'eaux
09 et ses mousses humides, jusqu'au groupe amoureux et
10marmoréen qui s'étreint sous la menace
frontale du gigantesque
11
Poliphème de bronze qui les guette de haut ! brutal et maître
12Toute l'après-midi avec Kahn au café riche. C'est morne et crépusculaire
13 la tente est haussée et les passants derrière la vitre défilent dans du gris
14 et du pâle,
incessants et toujours les mêmes, en leur effacement d'êtres
15 d'affaires et de plaisirs. Et là, longuement nous causons, de tout
16 et nous sortons dans la nuit qui commence et que stellent les gaz
163v
se divisent leurs lisses troncs ophidiens, réunis entre eux par
la guirlande courte et tordue d'un vivace et noir lierre.
Une vaste sommité de verdure – jaune à ce mois,
couvre et domine l'eau tranquille du long bassin, tellement jonché de
feuilles mortes, que où elle apparaît se creuse un trou mystérieux d'une profondeur illimitée, tant elle est de l'ombre.
En la fontaine où son luxe suranné étage un plateau d'eau et ses mousses humides, jusqu'au groupe amoureux et marmoréen qui s'étreint sous la menace frontale du gigantesque Polyphème de bronze qui les guette de haut, brutal et maître.
Toute l'après-midi avec Kahn au Café Riche. C'est morne et crépusculaire, la tente est haussée et les passants derrière la vitre défilent dans du gris et du pâle, incessants et toujours les mêmes, en leur effacement d'êtres d'affaires et de plaisirs. Et là, longuement, nous causons, de tout, et nous sortons dans la nuit qui commence et que stellent les gaz.