02Un portrait d'une verdâtre femme aux cheveux d'or, en noire
03 toilette qui fut la maîtresse de
Laforgue et de Kahn – presque
04 de l'histoire, enfin
05Ce matin sur la Seine, un brouillard léger et transparent changeant
06 les
rives en un paysage de neige,
?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
au flot qui semblent être
07 de fondante glaces
08En littérature fuir la forme relative et fragmentaire à la
09
Poictevin, les impressions ordres sont sans valeur
10 Il faut qu'elles s'ordonnent, se superposent, se cristallisent en poème
11Le paysage formule un état de notre âme et toute chose ainsi
12Hier derrière le Trocadéro flamboya un singulier couchant –
13 D'un soleil igné,
et comme fondant, irradiait un diffus rayonnement
14 vermeil qui se perdait dans les nuages de
cire. L'arbre était d'un
15 rouge vif comme d'un rouge de
chair rougie, ou d'une fusion métallique
16 Puis le point lumineux s'éteignit et tout devint violet et grave
Un portrait d'une verdâtre femme aux cheveux d'or, en noire toilette qui fut la maîtresse de Laforgue et de Kahn – presque de l'histoire, enfin.
Ce matin sur la Seine, un brouillard léger et transparent changeant les rives en un paysage de neige, ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? aux flots qui semblent être de fondantes glaces.
En littérature fuir la forme relative et fragmentaire à la Poictevin, les impressions sans ordre sont sans valeur. Il faut qu'elles s'ordonnent, se superposent, se cristallisent en poème.
Le paysage formule un état de notre âme et toute chose ainsi.
Hier derrière le Trocadéro flamboya un singulier couchant – D'un soleil igné, et comme fondant, irradiait un diffus rayonnement vermeil qui se perdait dans les nuages de cire. L'arbre était d'un rouge vif comme d'un rouge de chair rougie, ou d'une fusion métallique. Puis le point lumineux s'éteignit et tout devint violet et grave.
02Un portrait d'une verdâtre femme aux cheveux d'or, en noire
03 toilette qui fut la maîtresse de
Laforgue et de Kahn – presque
04 de l'histoire, enfin
05Ce matin sur la Seine, un brouillard léger et transparent changeant
06 les
rives en un paysage de neige,
?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
au flot qui semblent être
07 de fondante glaces
08En littérature fuir la forme relative et fragmentaire à la
09
Poictevin, les impressions ordres sont sans valeur
10 Il faut qu'elles s'ordonnent, se superposent, se cristallisent en poème
11Le paysage formule un état de notre âme et toute chose ainsi
12Hier derrière le Trocadéro flamboya un singulier couchant –
13 D'un soleil igné,
et comme fondant, irradiait un diffus rayonnement
14 vermeil qui se perdait dans les nuages de
cire. L'arbre était d'un
15 rouge vif comme d'un rouge de
chair rougie, ou d'une fusion métallique
16 Puis le point lumineux s'éteignit et tout devint violet et grave
Un portrait d'une verdâtre femme aux cheveux d'or, en noire toilette qui fut la maîtresse de Laforgue et de Kahn – presque de l'histoire, enfin.
Ce matin sur la Seine, un brouillard léger et transparent changeant les rives en un paysage de neige, ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? aux flots qui semblent être de fondantes glaces.
En littérature fuir la forme relative et fragmentaire à la Poictevin, les impressions sans ordre sont sans valeur. Il faut qu'elles s'ordonnent, se superposent, se cristallisent en poème.
Le paysage formule un état de notre âme et toute chose ainsi.
Hier derrière le Trocadéro flamboya un singulier couchant – D'un soleil igné, et comme fondant, irradiait un diffus rayonnement vermeil qui se perdait dans les nuages de cire. L'arbre était d'un rouge vif comme d'un rouge de chair rougie, ou d'une fusion métallique. Puis le point lumineux s'éteignit et tout devint violet et grave.
Édition numérique des Cahiers d’Henri de Régnier
