02Au xviiie siècle, un curieux courant littéraire. Sous l'influence
03des
Mille et une nuits, décolorées, mal comprises, et qui se dessèchent
04en passant par
les cervelles sceptiques de l'époque, naît une
05série de contes, orientaux, allégorique et saugrenus (voir Acajou
06et Zirphile, Angola, La
Princesse de Babylone, et d'autres.)
07Le monde des fées aparaît, vieilli, fardé, et dépouillé de sa
08charmante candeur primitive
09La France n'a pas connu le fantastique avant Hoffman et Poe…
105 ou 6 Décembre. À la fermeture des boutons, le gant, découvre la chair
11en cœur.. et quand on tend la main, il y a là
l’image
12d’offrir un cœur
13Été voir la Tosca – un drame plus que médiocre…
14des acteurs qui parlant français exagèrent l’accent
italien
15des noms propres, une intrigue d'évasion, rehaussée
16 de détails et de péripéties
historiques, et de la couleur
17 locale : la Madame... de...
18Heureusement que la Tosca est
Sarah Bernhardt la seule actrice moderne.
19Des robes, merveilleuses, exagérées, directoire, grand chapea comme des corbeilles. elle les porte avec une aisance
Au xviiie siècle, un curieux courant littéraire. Sous l'influencedes Mille et une nuits, décolorées, mal comprises, et qui se dessèchenten passant par les cervelles sceptiques de l'époque, naît unesérie de contes, orientaux, allégoriques et saugrenus (voir Acajouet Zirphile, Angola, La Princesse de Babylone, et d'autres).Le monde des fées apparaît, vieilli, fardé, et dépouillé de sacharmante candeur primitive.
La France n'a pas connu le fantastique avant Hoffmann et Poe…
5 ou 6 Décembre. À la fermeture des boutons, le gant découvre la chairen cœur.. et quand on tend la main, il y a là l’imaged’offrir un cœur
Été voir la Tosca – un drame plus que médiocre…des acteurs qui parlant français exagèrent l’accent italiendes noms propres, une intrigue d'évasion, rehaussée de détails et de péripéties historiques, et de la couleur locale : la Madame... de...Heureusement que la Tosca est Sarah Bernhardt, la seule actrice moderne.Des robes, merveilleuses, exagérées, Directoire, grands chapeaux comme des corbeilles. Elle les porte avec une aisance
02Au xviiie siècle, un curieux courant littéraire. Sous l'influence
03des
Mille et une nuits, décolorées, mal comprises, et qui se dessèchent
04en passant par
les cervelles sceptiques de l'époque, naît une
05série de contes, orientaux, allégorique et saugrenus (voir Acajou
06et Zirphile, Angola, La
Princesse de Babylone, et d'autres.)
07Le monde des fées aparaît, vieilli, fardé, et dépouillé de sa
08charmante candeur primitive
09La France n'a pas connu le fantastique avant Hoffman et Poe…
105 ou 6 Décembre. À la fermeture des boutons, le gant, découvre la chair
11en cœur.. et quand on tend la main, il y a là
l’image
12d’offrir un cœur
13Été voir la Tosca – un drame plus que médiocre…
14des acteurs qui parlant français exagèrent l’accent
italien
15des noms propres, une intrigue d'évasion, rehaussée
16 de détails et de péripéties
historiques, et de la couleur
17 locale : la Madame... de...
18Heureusement que la Tosca est
Sarah Bernhardt la seule actrice moderne.
19Des robes, merveilleuses, exagérées, directoire, grand chapea comme des corbeilles. elle les porte avec une aisance
Au xviiie siècle, un curieux courant littéraire. Sous l'influencedes Mille et une nuits, décolorées, mal comprises, et qui se dessèchenten passant par les cervelles sceptiques de l'époque, naît unesérie de contes, orientaux, allégoriques et saugrenus (voir Acajouet Zirphile, Angola, La Princesse de Babylone, et d'autres).Le monde des fées apparaît, vieilli, fardé, et dépouillé de sacharmante candeur primitive.
La France n'a pas connu le fantastique avant Hoffmann et Poe…
5 ou 6 Décembre. À la fermeture des boutons, le gant découvre la chairen cœur.. et quand on tend la main, il y a là l’imaged’offrir un cœur
Été voir la Tosca – un drame plus que médiocre…des acteurs qui parlant français exagèrent l’accent italiendes noms propres, une intrigue d'évasion, rehaussée de détails et de péripéties historiques, et de la couleur locale : la Madame... de...Heureusement que la Tosca est Sarah Bernhardt, la seule actrice moderne.Des robes, merveilleuses, exagérées, Directoire, grands chapeaux comme des corbeilles. Elle les porte avec une aisance
Édition numérique des Cahiers d’Henri de Régnier
