02Que reste-t-il de l'homme ? un peu de phosphore, de quoi
03faire quelques allumettes
04C'est avec le phosphore de sa cervelle que l'homme trouvetrace aux
05murailles d'ombre les lettres lumineuses de son nom.
06Penser souvent à ce mot de la Mq. de Bel… à qui on demandait
07si elle s'était amusée à un bal : Monsieur je ne m'amuse que quand je baise
08qu'on me baise ou que je fais minette…
09La même femme
lâché par son monde à cause de sa tribaderie
10bien connue, se fait accompagner au théâtre par les
messieurs
11de l'ambassade anglaise… des sadiques probablement…
12La tribaderie naît probablement quand dans une société l'homme
13se sépare de la femme. En Grèce, elle
naît au gynécée – en France
14actuelle dans les salons, où le mélange des deux sexes n'a pas lieu
15hommes d'un côté, femmes de l'autre.
16Elle a son origine dans la grossièreté de l'homme, la crainte
17 de la maternité, le désir exaspéré du
nouveau.
Que reste-t-il de l'homme ? un peu de phosphore, de quoifaire quelques allumettes.
C'est avec le phosphore de sa cervelle que l'homme trace auxmurailles d'ombre les lettres lumineuses de son nom.
Penser souvent à ce mot de la marquise de Bel… à qui on demandaitsi elle s'était amusée à un bal : "Monsieur, je ne m'amuse que quand je baisequ'on me baise ou que je fais minette…"
La même femme, lâchée par son monde à cause de sa tribaderiebien connue, se fait accompagner au théâtre par les messieursde l'ambassade anglaise… des sadiques probablement…
La tribaderie naît probablement quand dans une société l'hommese sépare de la femme. En Grèce, elle naît au gynécée – en Franceactuelle dans les salons, où le mélange des deux sexes n'a pas lieu,hommes d'un côté, femmes de l'autre.
Elle a son origine dans la grossièreté de l'homme, la crainte de la maternité, le désir exaspéré du nouveau.
02Que reste-t-il de l'homme ? un peu de phosphore, de quoi
03faire quelques allumettes
04C'est avec le phosphore de sa cervelle que l'homme trouvetrace aux
05murailles d'ombre les lettres lumineuses de son nom.
06Penser souvent à ce mot de la Mq. de Bel… à qui on demandait
07si elle s'était amusée à un bal : Monsieur je ne m'amuse que quand je baise
08qu'on me baise ou que je fais minette…
09La même femme
lâché par son monde à cause de sa tribaderie
10bien connue, se fait accompagner au théâtre par les
messieurs
11de l'ambassade anglaise… des sadiques probablement…
12La tribaderie naît probablement quand dans une société l'homme
13se sépare de la femme. En Grèce, elle
naît au gynécée – en France
14actuelle dans les salons, où le mélange des deux sexes n'a pas lieu
15hommes d'un côté, femmes de l'autre.
16Elle a son origine dans la grossièreté de l'homme, la crainte
17 de la maternité, le désir exaspéré du
nouveau.
Que reste-t-il de l'homme ? un peu de phosphore, de quoifaire quelques allumettes.
C'est avec le phosphore de sa cervelle que l'homme trace auxmurailles d'ombre les lettres lumineuses de son nom.
Penser souvent à ce mot de la marquise de Bel… à qui on demandaitsi elle s'était amusée à un bal : "Monsieur, je ne m'amuse que quand je baisequ'on me baise ou que je fais minette…"
La même femme, lâchée par son monde à cause de sa tribaderiebien connue, se fait accompagner au théâtre par les messieursde l'ambassade anglaise… des sadiques probablement…
La tribaderie naît probablement quand dans une société l'hommese sépare de la femme. En Grèce, elle naît au gynécée – en Franceactuelle dans les salons, où le mélange des deux sexes n'a pas lieu,hommes d'un côté, femmes de l'autre.
Elle a son origine dans la grossièreté de l'homme, la crainte de la maternité, le désir exaspéré du nouveau.