02Villiers fait entendre qu'il a retrouvé en Allemagne une photograp de
03Wolf avec une queue. Il raconte quelques histoires
04Au sortir nous allons au Café d'Orient où nous rencontrons Khan, Moréas
05Dujardin et le pourpoint de Théophile Gautier,
Signac, Seurat,
06
Pissaro que Khan désigne sous ce sobriquet : les Peintres .
07Dujardin écrit, nous allons jusqu'à la Revue Indépendant
08un rez-de-chaussée, table et piano, portières d'Orient, un grand
09châle de
l'Inde tend le mur – en face deux peaux de lynx
10Enfin nous vaguons par des rues et des cafés, avec Moréas et
11Khan, très tard.
12
Vendredi 11 Novembre. Au théâtre Libre.
La femme à Tabarin.
Esther Brandès.
13Beaucoup de monde. dans une avant-scène
Coppée, puis Banville
14traverse les couloirs suivi du zélé Rochegroose. Leconte de Lisle,tassé
sur
15son fauteuil le monocle à l'œil. À l'orchestre
Ajalbert, Darzens, Meilhac,
Lugnier
16Michelet, avec une ridicule cravatte, Coqulin, Cladel qui me prend le
17 bras et que je promène pendant
un entr'acte, Séverine, Villiers
18Mallarmé, Devant ces pièces d'une cruauté de vie si voulue
Coppée demande
19si quelqu'un ne voudrait pas lui raconter de belles histoires
20
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , Blanche, Signac,
Vidal…
21En sortant j'appelle Darzens, Glatigny de la Décadence
22Je reviens avec ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
Villiers fait entendre qu'il a retrouvé en Allemagne une photographie deWolf avec une queue. Il raconte quelques histoires.Au sortir nous allons au Café d'Orient où nous rencontrons Kahn, Moréas,Dujardin et le pourpoint de Théophile Gautier, Signac, Seurat, Pissaro que Kahn désigne sous ce sobriquet : "les Peintres".Dujardin écrit, nous allons jusqu'à la Revue indépendante :un rez-de-chaussée, table et piano, portières d'Orient, un grandchâle de l'Inde tend le mur – en face deux peaux de lynx. Enfin nous vaguons par des rues et des cafés, avec Moréas etKahn, très tard.
Vendredi 11 novembre. Au Théâtre-Libre : La Femme à Tabarin, Esther Brandès.Beaucoup de monde. Dans une avant-scène, Coppée, puis Banvilletraverse les couloirs, suivi du zélé Rochegroose. Leconte de Lisle,tassé surson fauteuil, le monocle à l'œil. À l'orchestre, Ajalbert, Darzens, Meilhac, Lugnier,Michelet, avec une ridicule cravate, Coquelin, Cladel qui me prend le bras et que je promène pendant un entr'acte, Séverine, Villiers,Mallarmé. Devant ces pièces d'une cruauté de vie si voulue, Coppée demandesi quelqu'un ne voudrait pas lui raconter de belles histoires. ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , Blanche, Signac, Vidal…
En sortant, j'appelle Darzens "Glatigny de la Décadence".
Je reviens avec ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? .
02Villiers fait entendre qu'il a retrouvé en Allemagne une photograp de
03Wolf avec une queue. Il raconte quelques histoires
04Au sortir nous allons au Café d'Orient où nous rencontrons Khan, Moréas
05Dujardin et le pourpoint de Théophile Gautier,
Signac, Seurat,
06
Pissaro que Khan désigne sous ce sobriquet : les Peintres .
07Dujardin écrit, nous allons jusqu'à la Revue Indépendant
08un rez-de-chaussée, table et piano, portières d'Orient, un grand
09châle de
l'Inde tend le mur – en face deux peaux de lynx
10Enfin nous vaguons par des rues et des cafés, avec Moréas et
11Khan, très tard.
12
Vendredi 11 Novembre. Au théâtre Libre.
La femme à Tabarin.
Esther Brandès.
13Beaucoup de monde. dans une avant-scène
Coppée, puis Banville
14traverse les couloirs suivi du zélé Rochegroose. Leconte de Lisle,tassé
sur
15son fauteuil le monocle à l'œil. À l'orchestre
Ajalbert, Darzens, Meilhac,
Lugnier
16Michelet, avec une ridicule cravatte, Coqulin, Cladel qui me prend le
17 bras et que je promène pendant
un entr'acte, Séverine, Villiers
18Mallarmé, Devant ces pièces d'une cruauté de vie si voulue
Coppée demande
19si quelqu'un ne voudrait pas lui raconter de belles histoires
20
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Vidal…
21En sortant j'appelle Darzens, Glatigny de la Décadence
22Je reviens avec ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
Villiers fait entendre qu'il a retrouvé en Allemagne une photographie deWolf avec une queue. Il raconte quelques histoires.Au sortir nous allons au Café d'Orient où nous rencontrons Kahn, Moréas,Dujardin et le pourpoint de Théophile Gautier, Signac, Seurat, Pissaro que Kahn désigne sous ce sobriquet : "les Peintres".Dujardin écrit, nous allons jusqu'à la Revue indépendante :un rez-de-chaussée, table et piano, portières d'Orient, un grandchâle de l'Inde tend le mur – en face deux peaux de lynx. Enfin nous vaguons par des rues et des cafés, avec Moréas etKahn, très tard.
Vendredi 11 novembre. Au Théâtre-Libre : La Femme à Tabarin, Esther Brandès.Beaucoup de monde. Dans une avant-scène, Coppée, puis Banvilletraverse les couloirs, suivi du zélé Rochegroose. Leconte de Lisle,tassé surson fauteuil, le monocle à l'œil. À l'orchestre, Ajalbert, Darzens, Meilhac, Lugnier,Michelet, avec une ridicule cravate, Coquelin, Cladel qui me prend le bras et que je promène pendant un entr'acte, Séverine, Villiers,Mallarmé. Devant ces pièces d'une cruauté de vie si voulue, Coppée demandesi quelqu'un ne voudrait pas lui raconter de belles histoires. ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , Blanche, Signac, Vidal…
En sortant, j'appelle Darzens "Glatigny de la Décadence".
Je reviens avec ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? .