02Il n'y a de bon que l'amour pour les femmes qui ne sauront
03jamais que vous les avez aimées !
04La poussière du temps sur les choses familières d'une chambre, c'est
05fait avec la cendre des rêves
morts.
06Cendre de cigares, cendres des rêves, cendre de l'âme !
07Quand je souffre, tout autour de moi disparaît, il me semble être dans
08un espace vide, seul, au
milieu des choses et des bourgeons évanouis – c'est
09la même chose quand on aime
10C'est nous qui créons perpétuellement l'univers qui nous environne.
11Un ciel de Septembre, d'innombrables étoiles dont quelques-une filent et
12coulent comme des larmes d'or.
13Touristes – on les appelle peut-être ainsi parce qu'ils montent
14volontiers
sur les Tours
15Un jeune homme va trouver un journaliste pour lui demander
16un emploi – 2 manières de l'accue
171er J. Jeune homme, vous croyez-vous du talent, de l'avenir
18Le J. H. Mais oui monsieur
19L. J. En ce cas je me ferais un scrupule de rien faire pour vous
Il n'y a de bon que l'amour pour les femmes qui ne saurontjamais que vous les avez aimées !
La poussière du temps sur les choses familières d'une chambre, c'estfait avec la cendre des rêves morts.
Cendre de cigares, cendres des rêves, cendre de l'âme !
Quand je souffre, tout autour de moi disparaît, il me semble être dansun espace vide, seul, au milieu des choses et des bourgeons évanouis – c'estla même chose quand on aime.
C'est nous qui créons perpétuellement l'univers qui nous environne.
Un ciel de septembre, d'innombrables étoiles dont quelques-unes filent etcoulent comme des larmes d'or.
Touristes – on les appelle peut-être ainsi parce qu'ils montentvolontiers sur les tours.
Un jeune homme va trouver un journaliste pour lui demanderun emploi – 2 manières de l'accueillir.
1er J. : Jeune homme, vous croyez-vous du talent, de l'avenir ?
Le J. H. : Mais oui, monsieur.
L. J. En ce cas je me ferais un scrupule de rien faire pour vous.
02Il n'y a de bon que l'amour pour les femmes qui ne sauront
03jamais que vous les avez aimées !
04La poussière du temps sur les choses familières d'une chambre, c'est
05fait avec la cendre des rêves
morts.
06Cendre de cigares, cendres des rêves, cendre de l'âme !
07Quand je souffre, tout autour de moi disparaît, il me semble être dans
08un espace vide, seul, au
milieu des choses et des bourgeons évanouis – c'est
09la même chose quand on aime
10C'est nous qui créons perpétuellement l'univers qui nous environne.
11Un ciel de Septembre, d'innombrables étoiles dont quelques-une filent et
12coulent comme des larmes d'or.
13Touristes – on les appelle peut-être ainsi parce qu'ils montent
14volontiers
sur les Tours
15Un jeune homme va trouver un journaliste pour lui demander
16un emploi – 2 manières de l'accue
171er J. Jeune homme, vous croyez-vous du talent, de l'avenir
18Le J. H. Mais oui monsieur
19L. J. En ce cas je me ferais un scrupule de rien faire pour vous
Il n'y a de bon que l'amour pour les femmes qui ne saurontjamais que vous les avez aimées !
La poussière du temps sur les choses familières d'une chambre, c'estfait avec la cendre des rêves morts.
Cendre de cigares, cendres des rêves, cendre de l'âme !
Quand je souffre, tout autour de moi disparaît, il me semble être dansun espace vide, seul, au milieu des choses et des bourgeons évanouis – c'estla même chose quand on aime.
C'est nous qui créons perpétuellement l'univers qui nous environne.
Un ciel de septembre, d'innombrables étoiles dont quelques-unes filent etcoulent comme des larmes d'or.
Touristes – on les appelle peut-être ainsi parce qu'ils montentvolontiers sur les tours.
Un jeune homme va trouver un journaliste pour lui demanderun emploi – 2 manières de l'accueillir.
1er J. : Jeune homme, vous croyez-vous du talent, de l'avenir ?
Le J. H. : Mais oui, monsieur.
L. J. En ce cas je me ferais un scrupule de rien faire pour vous.