02Judith enveloppée d'une mantille. Tout à coup un étudiant
03la pince, elle
tressaille, découvre sa merveilleuse figure.
04 Qu'est-ce qu'il y a
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? ... à l'étudiant : Je vous casserai mon
05
poingt sur la face. Zu ?.. Irf....
06Tout à coup un affreux ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
07Des souvenirs d'après-midi oisifs, alanguis, où l'on se sent le front
08 comme barré, et la poitrine comprimée d'un
désir de pleure sans
09 cause. Une angoisse nerveuse qui est un délice et un tourment.
10Dimanche.. ce jour qui n'en est pas un, que rien n'occupe, que
11 rien ne distrait, ce jour presque
aux ressouvenances du passé qui
12 se présentent plus intenses, despotiques :
13C'est l'automne dernier, à Montlouis, aux bords de la Loire
14Nous partons, dès le matin dans une carriole, .. le soleil est chaud déjà
15 On suit la route, dans la plaine parmi des retracées ? ? ? où s'enfoncent
16 des sentiers jaunâtres bossués d'ornières qui s'effritent. La voiture est
17 jonchée de paille, et secoue
rudement. Ces paysannes arrachées un jour
18 à leurs occupations, ont des joies bruyantes d'enfant et de
bestiales
19 rêveries contemplatives qui regardent la route longuement. Par dessus
20 les
collines, dans le bleuâtre vaporeux des bois, l'aiguille de la
21Pagode de
Chanteloup où nous allons darde son cône..
Judith enveloppée d'une mantille. Tout à coup un étudiantla pince, elle tressaille, découvre sa merveilleuse figure. Qu'est-ce qu'il y a ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? ... à l'étudiant : " Je vous casserai mon poing sur la face. Zu ?.. Irf....
Tout à coup un affreux ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
Des souvenirs d'après-midis oisifs, alanguis, où l'on se sent le front comme barré, et la poitrine comprimée d'un désir de pleurer sans cause. Une angoisse nerveuse qui est un délice et un tourment.
Dimanche.. ce jour qui n'en est pas un, que rien n'occupe, que rien ne distrait, ce jour presque aux ressouvenances du passé qui se présentent plus intenses, despotiques :
C'est l'automne dernier, à Montlouis, aux bords de la Loire.
Nous partons, dès le matin, dans une carriole ; le soleil est chaud déjà. On suit la route dans la plaine parmi des retracées ? ? ? où s'enfoncent des sentiers jaunâtres, bossués d'ornières qui s'effritent. La voiture est jonchée de paille, et secoue rudement. Ces paysannes, arrachées un jour à leurs occupations, ont des joies bruyantes d'enfant et de bestiales rêveries contemplatives qui regardent la route longuement. Par dessus les collines, dans le bleuâtre vaporeux des bois, l'aiguille de la Pagode de Chanteloup où nous allons darde son cône..
02Judith enveloppée d'une mantille. Tout à coup un étudiant
03la pince, elle
tressaille, découvre sa merveilleuse figure.
04 Qu'est-ce qu'il y a
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? ... à l'étudiant : Je vous casserai mon
05
poingt sur la face. Zu ?.. Irf....
06Tout à coup un affreux ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
07Des souvenirs d'après-midi oisifs, alanguis, où l'on se sent le front
08 comme barré, et la poitrine comprimée d'un
désir de pleure sans
09 cause. Une angoisse nerveuse qui est un délice et un tourment.
10Dimanche.. ce jour qui n'en est pas un, que rien n'occupe, que
11 rien ne distrait, ce jour presque
aux ressouvenances du passé qui
12 se présentent plus intenses, despotiques :
13C'est l'automne dernier, à Montlouis, aux bords de la Loire
14Nous partons, dès le matin dans une carriole, .. le soleil est chaud déjà
15 On suit la route, dans la plaine parmi des retracées ? ? ? où s'enfoncent
16 des sentiers jaunâtres bossués d'ornières qui s'effritent. La voiture est
17 jonchée de paille, et secoue
rudement. Ces paysannes arrachées un jour
18 à leurs occupations, ont des joies bruyantes d'enfant et de
bestiales
19 rêveries contemplatives qui regardent la route longuement. Par dessus
20 les
collines, dans le bleuâtre vaporeux des bois, l'aiguille de la
21Pagode de
Chanteloup où nous allons darde son cône..
Judith enveloppée d'une mantille. Tout à coup un étudiantla pince, elle tressaille, découvre sa merveilleuse figure. Qu'est-ce qu'il y a ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? ... à l'étudiant : " Je vous casserai mon poing sur la face. Zu ?.. Irf....
Tout à coup un affreux ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
Des souvenirs d'après-midis oisifs, alanguis, où l'on se sent le front comme barré, et la poitrine comprimée d'un désir de pleurer sans cause. Une angoisse nerveuse qui est un délice et un tourment.
Dimanche.. ce jour qui n'en est pas un, que rien n'occupe, que rien ne distrait, ce jour presque aux ressouvenances du passé qui se présentent plus intenses, despotiques :
C'est l'automne dernier, à Montlouis, aux bords de la Loire.
Nous partons, dès le matin, dans une carriole ; le soleil est chaud déjà. On suit la route dans la plaine parmi des retracées ? ? ? où s'enfoncent des sentiers jaunâtres, bossués d'ornières qui s'effritent. La voiture est jonchée de paille, et secoue rudement. Ces paysannes, arrachées un jour à leurs occupations, ont des joies bruyantes d'enfant et de bestiales rêveries contemplatives qui regardent la route longuement. Par dessus les collines, dans le bleuâtre vaporeux des bois, l'aiguille de la Pagode de Chanteloup où nous allons darde son cône..