02On traverse un petit bois d'accacias, aux feuilles en mouvement malgré
03 le calme de l'heure. Quelques-unes jaunes déjà vont tomber à la première
04 heure... Puis la forêt, le ruban de la route mince entre les
gazons, les
05 futaies hautes, les coupes récentes semées d'arbres épargnés, les
taillis
06repoussés déjà, tout cela crépite dans l'étouffement de midi.
07 On fait halte... le
vieux cheval dételé part.. et nous déjeunons.
08 La pagode, monte en s'amincissant, annelés de balcons circulaires
09 rétrécis d'étage en étage, échaffaudée de bois de construction
10 et au pied un étantg desséché, des touffes de roseaux.
11Au sommet, on voit s'irradier l'étoile des routes du
bois, au loin
12 par-delà des vignes dans un poudroiement
Amboise...
13Il y a une triste grille et un pavillon XVIIIe siècle qui survécut
14 aux destructions. On descend à l'étang par des marches
15c'est là qu'atterissassai
le gondoles d'autrefois.. Je ne connais rien
16 de plus complètement désolé.
17Le retour le long de la Loire les yeux au couchant...
18Un jour j'irai.. un jour de brume et de pluie douce.. en ce quartier
19 de N. D. des Champs, un jour... sur les trottoirs déserts, bordés
20 de couvent... je suivrai la ligne brisée de cette rue, je passerai
21 devant la grille qui forme l'allée de
tilleuls, où j'ai passé
22 autrefois avec eElle pour aller en cette
chambre abandonnée
23 et désolée, cette chambre regorgeante de meubles, avec le
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On traverse un petit bois d'acacias, aux feuilles en mouvement malgré le calme de l'heure. Quelques-unes, jaunes déjà, vont tomber à la première heure... Puis la forêt, le ruban de la route mince entre les gazons, les futaies hautes, les coupes récentes semées d'arbres épargnés, les taillisrepoussés déjà, tout cela crépite dans l'étouffement de midi. On fait halte... le vieux cheval dételé part.. et nous déjeunons. La pagode monte en s'amincissant, annelée de balcons circulaires rétrécis d'étage en étage, échafaudée de bois de construction et au pied, un étang desséché, des touffes de roseaux.Au sommet, on voit s'irradier l'étoile des routes du bois, au loin, par-delà des vignes, dans un poudroiement, Amboise...Il y a une triste grille et un pavillon XVIIIe siècle qui survécut aux destructions. On descend à l'étang par des marches :c'est là qu'atterrissaient les gondoles d'autrefois.. Je ne connais rien de plus complètement désolé.
Le retour le long de la Loire, les yeux au couchant...
Un jour j'irai.. un jour de brume et de pluie douce.. en ce quartier de Notre-Dame des Champs, un jour... sur les trottoirs déserts, bordés de couvent... Je suivrai la ligne brisée de cette rue, je passerai devant la grille qui forme l'allée de tilleuls, où j'ai passé autrefois avec Elle pour aller en cette chambre abandonnée et désolée, cette chambre regorgeante de meubles, avec le ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
02On traverse un petit bois d'accacias, aux feuilles en mouvement malgré
03 le calme de l'heure. Quelques-unes jaunes déjà vont tomber à la première
04 heure... Puis la forêt, le ruban de la route mince entre les
gazons, les
05 futaies hautes, les coupes récentes semées d'arbres épargnés, les
taillis
06repoussés déjà, tout cela crépite dans l'étouffement de midi.
07 On fait halte... le
vieux cheval dételé part.. et nous déjeunons.
08 La pagode, monte en s'amincissant, annelés de balcons circulaires
09 rétrécis d'étage en étage, échaffaudée de bois de construction
10 et au pied un étantg desséché, des touffes de roseaux.
11Au sommet, on voit s'irradier l'étoile des routes du
bois, au loin
12 par-delà des vignes dans un poudroiement
Amboise...
13Il y a une triste grille et un pavillon XVIIIe siècle qui survécut
14 aux destructions. On descend à l'étang par des marches
15c'est là qu'atterissassai
le gondoles d'autrefois.. Je ne connais rien
16 de plus complètement désolé.
17Le retour le long de la Loire les yeux au couchant...
18Un jour j'irai.. un jour de brume et de pluie douce.. en ce quartier
19 de N. D. des Champs, un jour... sur les trottoirs déserts, bordés
20 de couvent... je suivrai la ligne brisée de cette rue, je passerai
21 devant la grille qui forme l'allée de
tilleuls, où j'ai passé
22 autrefois avec eElle pour aller en cette
chambre abandonnée
23 et désolée, cette chambre regorgeante de meubles, avec le
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On traverse un petit bois d'acacias, aux feuilles en mouvement malgré le calme de l'heure. Quelques-unes, jaunes déjà, vont tomber à la première heure... Puis la forêt, le ruban de la route mince entre les gazons, les futaies hautes, les coupes récentes semées d'arbres épargnés, les taillisrepoussés déjà, tout cela crépite dans l'étouffement de midi. On fait halte... le vieux cheval dételé part.. et nous déjeunons. La pagode monte en s'amincissant, annelée de balcons circulaires rétrécis d'étage en étage, échafaudée de bois de construction et au pied, un étang desséché, des touffes de roseaux.Au sommet, on voit s'irradier l'étoile des routes du bois, au loin, par-delà des vignes, dans un poudroiement, Amboise...Il y a une triste grille et un pavillon XVIIIe siècle qui survécut aux destructions. On descend à l'étang par des marches :c'est là qu'atterrissaient les gondoles d'autrefois.. Je ne connais rien de plus complètement désolé.
Le retour le long de la Loire, les yeux au couchant...
Un jour j'irai.. un jour de brume et de pluie douce.. en ce quartier de Notre-Dame des Champs, un jour... sur les trottoirs déserts, bordés de couvent... Je suivrai la ligne brisée de cette rue, je passerai devant la grille qui forme l'allée de tilleuls, où j'ai passé autrefois avec Elle pour aller en cette chambre abandonnée et désolée, cette chambre regorgeante de meubles, avec le ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????