02Qu'est-ce que je lui disais donc, sur ce bacnc, dans le coin du parc
03près du jet d'eau.... le bassin était entouré de branchages pour
04que le bétail n'en puisse approche, il y avait des couches de
05feuilles mortes superposées, qu'une pluie récente avait faites
06luisantes comme du bronze, et molles
comme un fumier.
07que lui disais-je alors... je sais que je serrais sa main, et
08qu'elle s'était renversée au dossier rougissante et qu'elle
09tremblait.. J'aime mieux ne pas me ressouvenir entièrement
10je sais que c'était infâme, et ignoblement charnel, mais il y a
11des heures où le je t'aime ne suffit plus.......
12Il y a dans tout avenir un futur de douleurs qui s'accumule
13comme au ciel ces masses de nuages dont le vent arrache
14des lambeaux queil promènent leur ombre sur les champs
15encore ensoleillés
16Malines151 : une ville morte, une espèce de
Versailles flamande,
17aux rues vides, avec des maisons à fronton Louis XIV.
18les pavés des rues sont blancs, et sur les places aux interstices
19de
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? pousées d'herbe.
Qu'est-ce que je lui disais donc, sur ce banc, dans le coin du parc, près du jet d'eau.... Le bassin était entouré de branchages pour que le bétail n'en puisse approcher ; il y avait des couches de feuilles mortes superposées, qu'une pluie récente avait faites luisantes comme du bronze, et molles comme un fumier. Que lui disais-je alors... Je sais que je serrais sa main, et qu'elle s'était renversée au dossier, rougissante, et qu'elle tremblait.. J'aime mieux ne pas me ressouvenir entièrement ; je sais que c'était infâme, et ignoblement charnel, mais il y a des heures où le "je t'aime" ne suffit plus.......
Il y a dans tout avenir un futur de douleurs qui s'accumule comme au ciel ces masses de nuages dont le vent arrache des lambeaux qui promènent leur ombre sur les champs encore ensoleillés.
Malines151 : une ville morte, une espèce de Versailles flamande, aux rues vides, avec des maisons à fronton Louis XIV. Les pavés des rues sont blancs, et sur les places aux interstices de ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? pousées d'herbe.
02Qu'est-ce que je lui disais donc, sur ce bacnc, dans le coin du parc
03près du jet d'eau.... le bassin était entouré de branchages pour
04que le bétail n'en puisse approche, il y avait des couches de
05feuilles mortes superposées, qu'une pluie récente avait faites
06luisantes comme du bronze, et molles
comme un fumier.
07que lui disais-je alors... je sais que je serrais sa main, et
08qu'elle s'était renversée au dossier rougissante et qu'elle
09tremblait.. J'aime mieux ne pas me ressouvenir entièrement
10je sais que c'était infâme, et ignoblement charnel, mais il y a
11des heures où le je t'aime ne suffit plus.......
12Il y a dans tout avenir un futur de douleurs qui s'accumule
13comme au ciel ces masses de nuages dont le vent arrache
14des lambeaux queil promènent leur ombre sur les champs
15encore ensoleillés
16Malines151 : une ville morte, une espèce de
Versailles flamande,
17aux rues vides, avec des maisons à fronton Louis XIV.
18les pavés des rues sont blancs, et sur les places aux interstices
19de
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? pousées d'herbe.
Qu'est-ce que je lui disais donc, sur ce banc, dans le coin du parc, près du jet d'eau.... Le bassin était entouré de branchages pour que le bétail n'en puisse approcher ; il y avait des couches de feuilles mortes superposées, qu'une pluie récente avait faites luisantes comme du bronze, et molles comme un fumier. Que lui disais-je alors... Je sais que je serrais sa main, et qu'elle s'était renversée au dossier, rougissante, et qu'elle tremblait.. J'aime mieux ne pas me ressouvenir entièrement ; je sais que c'était infâme, et ignoblement charnel, mais il y a des heures où le "je t'aime" ne suffit plus.......
Il y a dans tout avenir un futur de douleurs qui s'accumule comme au ciel ces masses de nuages dont le vent arrache des lambeaux qui promènent leur ombre sur les champs encore ensoleillés.
Malines151 : une ville morte, une espèce de Versailles flamande, aux rues vides, avec des maisons à fronton Louis XIV. Les pavés des rues sont blancs, et sur les places aux interstices de ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? pousées d'herbe.