02Le poète doit considérer les choses et non les mots152..
03quand il met dans ses vers : un couchant rouge, ce ne sont pas
04simplement 2 mots qui sont là, c'est la pourpre même du ciel
05les mots viennent tout seuls, et il y a un tact divin à les choisi
06correspondant d'une façon expresse, aux choses qu'on veut dire..
07Villiersi ne disait-il pas : Quand on a une idée on l'exprimerait
08en glousant153 "
09Herediai disait : Le sens... est une plante parasite poussée sur
10le trombonne de la sonorité." et
c'était
une
?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
11Au pavillon d'or et d'émaux qui s'érige au centre du lac s'est réfugié
12la lassitude de mes rêves, et pour bercer leur fatigue n'ai-je pas, l'ondulation
13des fauteuils à patins et la fumée des blonds tabacs !
14Je ne descendrai plus les marches de marbre que j'ai mouilléesà laver de
15mon pied nu, et le niveau de l'onde qui ne meuvra plus nul nageur
16s'établit à jamais, sans reflux, et
sans mouvement
17Et mes pensées sont les feuilles de quelque arbre, tournant en
18chutes d'Automne, jusqu'à l'eau où elle flottent..
19et mes rêves sont les grands oiseau peints, éternels rêveurs de ces
20rives, stationnaires en .... définitives et que ne tente
21plus l'inconnu des migrations.. et
la folie des vains essors...
Le poète doit considérer les choses et non les mots152.. Quand il met dans ses vers : un couchant rouge, ce ne sont pas simplement deux mots qui sont là, c'est la pourpre même du ciel ; les mots viennent tout seuls, et il y a un tact divin à les choisir correspondant d'une façon expresse aux choses qu'on veut dire.. Villiersi ne disait-il pas : "Quand on a une idée, on l'exprimerait en gloussant153."
Herediai disait : "Le sens... est une plante parasite poussée sur le trombone de la sonorité."
Au pavillon d'or et d'émaux qui s'érige au centre du lac, s'est réfugiée la lassitude de mes rêves, et pour bercer leur fatigue, n'ai-je pas l'ondulation des fauteuils à patins et la fumée des blonds tabacs !
Je ne descendrai plus les marches de marbre que j'ai mouilléesà laver de mon pied nu, et le niveau de l'onde qui ne meuvra plus nul nageur s'établit à jamais, sans reflux, et sans mouvement. Et mes pensées sont les feuilles de quelque arbre, tournant en chutes d'Automne, jusqu'à l'eau où elles flottent..
Et mes rêves sont les grands oiseaux peints, éternels rêveurs de ces rives, stationnaires en .... définitives et que ne tente plus l'inconnu des migrations.. et la folie des vains essors...
02Le poète doit considérer les choses et non les mots152..
03quand il met dans ses vers : un couchant rouge, ce ne sont pas
04simplement 2 mots qui sont là, c'est la pourpre même du ciel
05les mots viennent tout seuls, et il y a un tact divin à les choisi
06correspondant d'une façon expresse, aux choses qu'on veut dire..
07Villiersi ne disait-il pas : Quand on a une idée on l'exprimerait
08en glousant153 "
09Herediai disait : Le sens... est une plante parasite poussée sur
10le trombonne de la sonorité." et
c'était
une
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11Au pavillon d'or et d'émaux qui s'érige au centre du lac s'est réfugié
12la lassitude de mes rêves, et pour bercer leur fatigue n'ai-je pas, l'ondulation
13des fauteuils à patins et la fumée des blonds tabacs !
14Je ne descendrai plus les marches de marbre que j'ai mouilléesà laver de
15mon pied nu, et le niveau de l'onde qui ne meuvra plus nul nageur
16s'établit à jamais, sans reflux, et
sans mouvement
17Et mes pensées sont les feuilles de quelque arbre, tournant en
18chutes d'Automne, jusqu'à l'eau où elle flottent..
19et mes rêves sont les grands oiseau peints, éternels rêveurs de ces
20rives, stationnaires en .... définitives et que ne tente
21plus l'inconnu des migrations.. et
la folie des vains essors...
Le poète doit considérer les choses et non les mots152.. Quand il met dans ses vers : un couchant rouge, ce ne sont pas simplement deux mots qui sont là, c'est la pourpre même du ciel ; les mots viennent tout seuls, et il y a un tact divin à les choisir correspondant d'une façon expresse aux choses qu'on veut dire.. Villiersi ne disait-il pas : "Quand on a une idée, on l'exprimerait en gloussant153."
Herediai disait : "Le sens... est une plante parasite poussée sur le trombone de la sonorité."
Au pavillon d'or et d'émaux qui s'érige au centre du lac, s'est réfugiée la lassitude de mes rêves, et pour bercer leur fatigue, n'ai-je pas l'ondulation des fauteuils à patins et la fumée des blonds tabacs !
Je ne descendrai plus les marches de marbre que j'ai mouilléesà laver de mon pied nu, et le niveau de l'onde qui ne meuvra plus nul nageur s'établit à jamais, sans reflux, et sans mouvement. Et mes pensées sont les feuilles de quelque arbre, tournant en chutes d'Automne, jusqu'à l'eau où elles flottent..
Et mes rêves sont les grands oiseaux peints, éternels rêveurs de ces rives, stationnaires en .... définitives et que ne tente plus l'inconnu des migrations.. et la folie des vains essors...