01
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avec de proéminentes mâchoires s'ouvrant comme des ciseaux
03Un salon à panneaux de tapisserie, des verdures agréables.
04Une terre, un parterre avec un jet d'eau tari, des plumets blancs sont
05plantés, aux murs peints en jaune, soutenus de colonnes grecques
06des couronnes et des inscriptions : Pax huic domi.
07Utinam hanc veris implorem amicis – Deus nobis haec otia fecit
08Dulcis patris memoriae143. L'homme qui a effectué ce prodigieux
09travail est maintenant, nous dit le
propriétaire, supérieur
10du couvent de Solesmes144, et nous
apprend aussi que la maison
11a été habitée par une ancienne dame d'honneur de la
12Duchesse de
Berry145 et ses deux filles. Elle faisaient dans le pays
13le commerce du beurre, elles avaient pour cela une voiture
14et un cheval. Puis la débâcle et venu, et l'hiver elles ont brûlé
15pour se chauffer toutes les boiseries de l'appartement
16.. Il y a aussi une terrasse et un jardin d'une inculture
17charmante.
18En bas, un autre jardin, et en face un coteau, fouilli d'arbres
19qui refleurit au printemps de graines éparses
20– Le len
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avec de proéminentes mâchoires s'ouvrant comme des ciseaux.
Un salon à panneaux de tapisserie, des verdures agréables. Une terre, un parterre avec un jet d'eau tari, des plumets blancs sont
plantés, aux murs peints en jaune, soutenus de colonnes grecques,
des couronnes et des inscriptions : Pax huic domi. Utinam hanc veris implorem amicis. Deus nobis haec otia fecit.
Dulcis patris memoriae143. L'homme qui a effectué ce prodigieux travail est maintenant, nous dit le
propriétaire, supérieur du couvent de Solesmes144, et nous
apprend aussi que la maison a été habitée par une ancienne dame d'honneur de la Duchesse de
Berry145 et ses deux filles. Elles faisaient dans le pays le commerce du beurre, elles avaient pour cela une voiture et un cheval. Puis la débâcle est venue, et l'hiver elles ont brûlé pour se chauffer toutes les boiseries de l'appartement.
.. Il y a aussi une terrasse et un jardin d'une inculture charmante.
En bas, un autre jardin, et en face un coteau, fouillis d'arbres, qui refleurit au printemps de graines éparses.
– Le len
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avec de proéminentes mâchoires s'ouvrant comme des ciseaux
03Un salon à panneaux de tapisserie, des verdures agréables.
04Une terre, un parterre avec un jet d'eau tari, des plumets blancs sont
05plantés, aux murs peints en jaune, soutenus de colonnes grecques
06des couronnes et des inscriptions : Pax huic domi.
07Utinam hanc veris implorem amicis – Deus nobis haec otia fecit
08Dulcis patris memoriae143. L'homme qui a effectué ce prodigieux
09travail est maintenant, nous dit le
propriétaire, supérieur
10du couvent de Solesmes144, et nous
apprend aussi que la maison
11a été habitée par une ancienne dame d'honneur de la
12Duchesse de
Berry145 et ses deux filles. Elle faisaient dans le pays
13le commerce du beurre, elles avaient pour cela une voiture
14et un cheval. Puis la débâcle et venu, et l'hiver elles ont brûlé
15pour se chauffer toutes les boiseries de l'appartement
16.. Il y a aussi une terrasse et un jardin d'une inculture
17charmante.
18En bas, un autre jardin, et en face un coteau, fouilli d'arbres
19qui refleurit au printemps de graines éparses
20– Le len
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avec de proéminentes mâchoires s'ouvrant comme des ciseaux.
Un salon à panneaux de tapisserie, des verdures agréables. Une terre, un parterre avec un jet d'eau tari, des plumets blancs sont
plantés, aux murs peints en jaune, soutenus de colonnes grecques,
des couronnes et des inscriptions : Pax huic domi. Utinam hanc veris implorem amicis. Deus nobis haec otia fecit.
Dulcis patris memoriae143. L'homme qui a effectué ce prodigieux travail est maintenant, nous dit le
propriétaire, supérieur du couvent de Solesmes144, et nous
apprend aussi que la maison a été habitée par une ancienne dame d'honneur de la Duchesse de
Berry145 et ses deux filles. Elles faisaient dans le pays le commerce du beurre, elles avaient pour cela une voiture et un cheval. Puis la débâcle est venue, et l'hiver elles ont brûlé pour se chauffer toutes les boiseries de l'appartement.
.. Il y a aussi une terrasse et un jardin d'une inculture charmante.
En bas, un autre jardin, et en face un coteau, fouillis d'arbres, qui refleurit au printemps de graines éparses.
– Le len
Édition numérique des Cahiers d’Henri de Régnier
