01
0266
d'émail,
pui un jour cette marée humaine s'arrêta et le pont croula
03J'ai été enterrée dan les sable, le courant des eaux a pelé ma croupe,
04la quille des barques a frôlé ma tête, le pied de nageurs m'ont effleur
05et ce soir, d'aridité, j'émerge du lit vide de fleuve, et je t'ai rencontré
06face à face, ô rêveur accroupi, et dans tes yeux j'ai reconnu mon
07désespoir, d'autrefois, et je l'ai salué de paroles fraternelles
08Le long de la Loire, jusqu'à Lussault140, visiter une maison à louer.
09La route suit les courbes du fleuve, bordée de terrains en contre bas
semé
10d'arbres, et de pièces d'eau verte d'herbe. À un détour d'où l'on voit, au
11loin en des verdures, par delà le fleuve calme, les tours
rondes du
12château d'Amboise, une merveille du genre rustique,,
13Une mare où quelques nénuphars fleurissent, berce une barque
14accostée au rivage, une barque qui sert au psurprenant bourgeois
15maître de ces lieux à se transporter jusqu'à un cube de
16maçonnerie sur qui s'élève une pavillon141. Aau milieu de l'eau
17C'est du balcon de cet habitacle que cet homme pêche les poissons
18que son magique caprice a enfermé dans ce vivier, où se mire
19cette construction, et le poisson de zinc qui tourne en girouette
20sur son toit.
21Nous avons aussi suivi une belle route, au bas d'une colline 142
66
d'émail ;
puis un jour cette marée humaine s'arrêta et le pont croula.
J'ai été enterrée dans les sables, le courant des eaux a pelé ma croupe, la quille des barques a frôlé ma tête, les pieds des nageurs m'ont effleurée ;
et ce soir d'aridité, j'émerge du lit vide de fleuve, et je t'ai rencontré face à face, ô rêveur accroupi, et dans tes yeux, j'ai reconnu mon désespoir d'autrefois, et je l'ai salué de paroles fraternelles.
Le long de la Loire, jusqu'à Lussault140, visiter une maison à louer. La route suit les courbes du fleuve, bordée de terrains en contrebas semée d'arbres, et de pièces d'eau verte d'herbe. À un détour d'où l'on voit, au loin en des verdures, par delà le fleuve calme, les tours rondes du château d'Amboise, une merveille du genre rustique. Une mare où quelques nénuphars fleurissent berce une barque accostée au rivage, une barque qui sert au surprenant bourgeois maître de ces lieux à se transporter jusqu'à un cube de maçonnerie sur qui s'élève un pavillon141 au milieu de l'eau. C'est du balcon de cet habitacle que cet homme pêche les poissons que son magique caprice a enfermés dans ce vivier, où se mire cette construction, et le poisson de zinc qui tourne en girouette sur son toit.
Nous avons aussi suivi une belle route, au bas d'une colline 142
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d'émail,
pui un jour cette marée humaine s'arrêta et le pont croula
03J'ai été enterrée dan les sable, le courant des eaux a pelé ma croupe,
04la quille des barques a frôlé ma tête, le pied de nageurs m'ont effleur
05et ce soir, d'aridité, j'émerge du lit vide de fleuve, et je t'ai rencontré
06face à face, ô rêveur accroupi, et dans tes yeux j'ai reconnu mon
07désespoir, d'autrefois, et je l'ai salué de paroles fraternelles
08Le long de la Loire, jusqu'à Lussault140, visiter une maison à louer.
09La route suit les courbes du fleuve, bordée de terrains en contre bas
semé
10d'arbres, et de pièces d'eau verte d'herbe. À un détour d'où l'on voit, au
11loin en des verdures, par delà le fleuve calme, les tours
rondes du
12château d'Amboise, une merveille du genre rustique,,
13Une mare où quelques nénuphars fleurissent, berce une barque
14accostée au rivage, une barque qui sert au psurprenant bourgeois
15maître de ces lieux à se transporter jusqu'à un cube de
16maçonnerie sur qui s'élève une pavillon141. Aau milieu de l'eau
17C'est du balcon de cet habitacle que cet homme pêche les poissons
18que son magique caprice a enfermé dans ce vivier, où se mire
19cette construction, et le poisson de zinc qui tourne en girouette
20sur son toit.
21Nous avons aussi suivi une belle route, au bas d'une colline 142
66
d'émail ;
puis un jour cette marée humaine s'arrêta et le pont croula.
J'ai été enterrée dans les sables, le courant des eaux a pelé ma croupe, la quille des barques a frôlé ma tête, les pieds des nageurs m'ont effleurée ;
et ce soir d'aridité, j'émerge du lit vide de fleuve, et je t'ai rencontré face à face, ô rêveur accroupi, et dans tes yeux, j'ai reconnu mon désespoir d'autrefois, et je l'ai salué de paroles fraternelles.
Le long de la Loire, jusqu'à Lussault140, visiter une maison à louer. La route suit les courbes du fleuve, bordée de terrains en contrebas semée d'arbres, et de pièces d'eau verte d'herbe. À un détour d'où l'on voit, au loin en des verdures, par delà le fleuve calme, les tours rondes du château d'Amboise, une merveille du genre rustique. Une mare où quelques nénuphars fleurissent berce une barque accostée au rivage, une barque qui sert au surprenant bourgeois maître de ces lieux à se transporter jusqu'à un cube de maçonnerie sur qui s'élève un pavillon141 au milieu de l'eau. C'est du balcon de cet habitacle que cet homme pêche les poissons que son magique caprice a enfermés dans ce vivier, où se mire cette construction, et le poisson de zinc qui tourne en girouette sur son toit.
Nous avons aussi suivi une belle route, au bas d'une colline 142
Édition numérique des Cahiers d’Henri de Régnier