02Que roman112...
03Lui et elle reviennent vers le soir au château où se passa les
04premiers jours de leur mariage. La folie des corbeilles, la
05dépense exagérée du voyage de noce ont épuisé la bourse
06et madame est grise. et il faudrait dire leur vie, au jour le
07jour, avec des préoccupations d'argent, des soucis pour
08l'éducation future de l'enfant
qui naîtra, et les cancans
09des alentours, le mouvement des saisons, leur vie mêlée aux
10choses, et faire l'analyse de l'amour de l'homme
pour la femme
11déformée, qui se sent enlaidie, peindre son éloignement d'elle
12qui ne combat pas encore la reconnaissance pour celle qui
a
13eu un fils le sien — parler couches — le ratatinement — la promenade
14dans la forêt où ils se taisent et le retour, elle honteuse lui soucieux et
15penaud — et à la maison l'enfant piaille et ils pensent que
16cela va recommencer..
17 Il y a à R...113 une rue
habitée d'un bout à l'autre par de vieux
18garçons qui ont épousé leurs bonnes...
19 La province est toujours fertile en trouvailles. à R. Paul de Kocki
20est toujours admiré et on déclare ses livres écrits avec esprit.
21 X. royaliste ne lit jamais que les journaux de son opinion
22les idées contraires le froissent !
Quel roman112...
Lui et elle reviennent, vers le soir, au château où se passèrent les premiers jours de leur mariage. La folie des corbeilles, la dépense exagérée du voyage de noces ont épuisé la bourse et madame est grise. Et il faudrait dire leur vie, au jour le jour, avec des préoccupations d'argent, des soucis pour l'éducation future de l'enfant qui naîtra, et les cancans des alentours, le mouvement des saisons, leur vie mêlée aux choses, et faire l'analyse de l'amour de l'homme pour la femme déformée, qui se sent enlaidie, peindre son éloignement d'elle qui ne combat pas encore la reconnaissance pour celle qui a eu un fils, le sien ; parler couches ; le ratatinement ; la promenade dans la forêt où ils se taisent et le retour, elle honteuse, lui soucieux et penaud ; et à la maison l'enfant piaille et ils pensent que cela va recommencer..
Il y a à R...113 une rue habitée d'un bout à l'autre par de vieux garçons qui ont épousé leurs bonnes...
La province est toujours fertile en trouvailles. À R. Paul de Kocki est toujours admiré et on déclare ses livres écrits avec esprit.
X. royaliste ne lit jamais que les journaux de son opinion, les idées contraires le froissent !
02Que roman112...
03Lui et elle reviennent vers le soir au château où se passa les
04premiers jours de leur mariage. La folie des corbeilles, la
05dépense exagérée du voyage de noce ont épuisé la bourse
06et madame est grise. et il faudrait dire leur vie, au jour le
07jour, avec des préoccupations d'argent, des soucis pour
08l'éducation future de l'enfant
qui naîtra, et les cancans
09des alentours, le mouvement des saisons, leur vie mêlée aux
10choses, et faire l'analyse de l'amour de l'homme
pour la femme
11déformée, qui se sent enlaidie, peindre son éloignement d'elle
12qui ne combat pas encore la reconnaissance pour celle qui
a
13eu un fils le sien — parler couches — le ratatinement — la promenade
14dans la forêt où ils se taisent et le retour, elle honteuse lui soucieux et
15penaud — et à la maison l'enfant piaille et ils pensent que
16cela va recommencer..
17 Il y a à R...113 une rue
habitée d'un bout à l'autre par de vieux
18garçons qui ont épousé leurs bonnes...
19 La province est toujours fertile en trouvailles. à R. Paul de Kocki
20est toujours admiré et on déclare ses livres écrits avec esprit.
21 X. royaliste ne lit jamais que les journaux de son opinion
22les idées contraires le froissent !
Quel roman112...
Lui et elle reviennent, vers le soir, au château où se passèrent les premiers jours de leur mariage. La folie des corbeilles, la dépense exagérée du voyage de noces ont épuisé la bourse et madame est grise. Et il faudrait dire leur vie, au jour le jour, avec des préoccupations d'argent, des soucis pour l'éducation future de l'enfant qui naîtra, et les cancans des alentours, le mouvement des saisons, leur vie mêlée aux choses, et faire l'analyse de l'amour de l'homme pour la femme déformée, qui se sent enlaidie, peindre son éloignement d'elle qui ne combat pas encore la reconnaissance pour celle qui a eu un fils, le sien ; parler couches ; le ratatinement ; la promenade dans la forêt où ils se taisent et le retour, elle honteuse, lui soucieux et penaud ; et à la maison l'enfant piaille et ils pensent que cela va recommencer..
Il y a à R...113 une rue habitée d'un bout à l'autre par de vieux garçons qui ont épousé leurs bonnes...
La province est toujours fertile en trouvailles. À R. Paul de Kocki est toujours admiré et on déclare ses livres écrits avec esprit.
X. royaliste ne lit jamais que les journaux de son opinion, les idées contraires le froissent !