01
0245
qu'incluait cette parole car ne b...-t-on pas ventre à ventre,
03face à face... le plus souvent
04 Un vague reste des choses de l'enfance reste en l'homme
?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
à une
05femme qu'il aime il baise les boutons des seins un vieux retour à
06des habitudes de l'allaitement passé.
07 J'ai pensé beaucoup à la mort ces temps-ci. À y songer on la rapproche
08l'idée se fait toute voisine, présente même, et toujours chaque fois
09c'était aun redoublement, d'épouvante, une terreur folle.
10Y penser trop fait peut-être mourir.
11 En amour je n'ai jamais eu je crois une minute de plénitude
12Les moments m'ont toujours été gâtés par le souvenir des
13difficultés vaincues et la prévision de celles qui surviendraient
14 Les proverbes86 et les clichés ce sont les complets tout faits Godchaux
15de la conversation.
16 Quand je pense à la mort ce n'est qu'au moment même de
17la mort que je chon songe, à l'instant du trépassement. Je
18n'ose encore m'aventurer au-delà, ni rêver ce qui pourra
19advenir après
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qu'incluait cette parole car ne b...-t-on pas ventre à ventre, face à face... le plus souvent ?
Un vague reste des choses de l'enfance reste en l'homme ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? : à une femme qu'il aime, il baise les boutons des seins, un vieux retour à des habitudes de l'allaitement passé.
J'ai pensé beaucoup à la mort ces temps-ci. À y songer, on la rapproche, l'idée se fait toute voisine, présente même, et toujours chaque fois c'était un redoublement d'épouvante, une terreur folle. Y penser trop fait peut-être mourir.
En amour je n'ai jamais eu, je crois, une minute de plénitude. Les moments m'ont toujours été gâtés par le souvenir des difficultés vaincues et la prévision de celles qui surviendraient.
Les proverbes86 et les clichés, ce sont les complets tout faits Godchaux de la conversation.
Quand je pense à la mort, ce n'est qu'au moment même de la mort que je songe, à l'instant du trépassement. Je n'ose encore m'aventurer au-delà, ni rêver ce qui pourra advenir après.
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qu'incluait cette parole car ne b...-t-on pas ventre à ventre,
03face à face... le plus souvent
04 Un vague reste des choses de l'enfance reste en l'homme
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à une
05femme qu'il aime il baise les boutons des seins un vieux retour à
06des habitudes de l'allaitement passé.
07 J'ai pensé beaucoup à la mort ces temps-ci. À y songer on la rapproche
08l'idée se fait toute voisine, présente même, et toujours chaque fois
09c'était aun redoublement, d'épouvante, une terreur folle.
10Y penser trop fait peut-être mourir.
11 En amour je n'ai jamais eu je crois une minute de plénitude
12Les moments m'ont toujours été gâtés par le souvenir des
13difficultés vaincues et la prévision de celles qui surviendraient
14 Les proverbes86 et les clichés ce sont les complets tout faits Godchaux
15de la conversation.
16 Quand je pense à la mort ce n'est qu'au moment même de
17la mort que je chon songe, à l'instant du trépassement. Je
18n'ose encore m'aventurer au-delà, ni rêver ce qui pourra
19advenir après
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qu'incluait cette parole car ne b...-t-on pas ventre à ventre, face à face... le plus souvent ?
Un vague reste des choses de l'enfance reste en l'homme ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? : à une femme qu'il aime, il baise les boutons des seins, un vieux retour à des habitudes de l'allaitement passé.
J'ai pensé beaucoup à la mort ces temps-ci. À y songer, on la rapproche, l'idée se fait toute voisine, présente même, et toujours chaque fois c'était un redoublement d'épouvante, une terreur folle. Y penser trop fait peut-être mourir.
En amour je n'ai jamais eu, je crois, une minute de plénitude. Les moments m'ont toujours été gâtés par le souvenir des difficultés vaincues et la prévision de celles qui surviendraient.
Les proverbes86 et les clichés, ce sont les complets tout faits Godchaux de la conversation.
Quand je pense à la mort, ce n'est qu'au moment même de la mort que je songe, à l'instant du trépassement. Je n'ose encore m'aventurer au-delà, ni rêver ce qui pourra advenir après.
Édition numérique des Cahiers d’Henri de Régnier