01
0235v
rayonne la vertigineuse auréole, blanche, et qui semble tourner
03comme une roue vibrante et rotatoire –
04Le Sphinx46 : le long d'un rocher, où rêve, au sommet, l'étrange Sphinx couronné
05couché au pied d'une colonne de lapis-lazuli, de l'azur solide
06des corps blancs dégringolent – par une échancrure des rocs, la mer
07qui semble rouler une poussière saphyrienne
08L'étoile du matin47 – d'un encadrement octogone, dans un ciel nocture
09respecté des chimérique dragon qui se tordent en la bordure, une
10femme nue apparaît – un hibou noir volete à ses pieds elle est
11très blanche rayonne comme un astre, et monte comme un oiseau
12Une curieuse Léda à l'huile48 – des premières toiles de G. M.i
13un nNarcisse49. – un St Michel50 – un St Martin51, une Pietà52
14– une
Péri53 : un étang nocturne entrouve ses ondes lourdes, pour l'évasement
15d'une fleur gigantesque aux larges calices, et comme sortie de la caillée
16dans le ciel bleuâtre où veille une lune balafrée de nuages, au dessus d'un
17décor de rêve, où apparaissent une vague cité de dômes et de flèches,
18monte, enlevée au vol d'un dragon, roux d'écaille, ongles d'acier, aile
19de membranes griffues, une péri au diadème féerique et fulgurant
35v
rayonne la vertigineuse auréole, blanche, et qui semble tourner comme une roue vibrante et rotatoire.
Le Sphinx46 : le long d'un rocher, où rêve, au sommet, l'étrange Sphinx couronné, couché au pied d'une colonne de lapis-lazuli ; de l'azur solide, des corps blancs dégringolent – par une échancrure des rocs, la mer qui semble rouler une poussière saphyrienne.
L'Étoile du matin47 – d'un encadrement octogone, dans un ciel nocture, respecté des chimériques dragons qui se tordent en la bordure, une femme nue apparaît – un hibou noir volette à ses pieds – elle est très blanche, rayonne comme un astre, et monte comme un oiseau.
Une curieuse Léda à l'huile48 – des premières toiles de Gustave Moreaui ; un Narcisse49, un St Michel50, un St Martin51, une Pietà52.
Une Péri53 : un étang nocturne entrouvre ses ondes lourdes, pour l'évasement d'une fleur gigantesque aux larges calices, et comme sortie de la caillée dans le ciel bleuâtre où veille une lune balafrée de nuages, au dessus d'un décor de rêve, où apparaît une vague cité de dômes et de flèches, monte, enlevée au vol d'un dragon, roux d'écaille, ongles d'acier, ailes de membranes griffues, une péri au diadème féerique et fulgurant
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rayonne la vertigineuse auréole, blanche, et qui semble tourner
03comme une roue vibrante et rotatoire –
04Le Sphinx46 : le long d'un rocher, où rêve, au sommet, l'étrange Sphinx couronné
05couché au pied d'une colonne de lapis-lazuli, de l'azur solide
06des corps blancs dégringolent – par une échancrure des rocs, la mer
07qui semble rouler une poussière saphyrienne
08L'étoile du matin47 – d'un encadrement octogone, dans un ciel nocture
09respecté des chimérique dragon qui se tordent en la bordure, une
10femme nue apparaît – un hibou noir volete à ses pieds elle est
11très blanche rayonne comme un astre, et monte comme un oiseau
12Une curieuse Léda à l'huile48 – des premières toiles de G. M.i
13un nNarcisse49. – un St Michel50 – un St Martin51, une Pietà52
14– une
Péri53 : un étang nocturne entrouve ses ondes lourdes, pour l'évasement
15d'une fleur gigantesque aux larges calices, et comme sortie de la caillée
16dans le ciel bleuâtre où veille une lune balafrée de nuages, au dessus d'un
17décor de rêve, où apparaissent une vague cité de dômes et de flèches,
18monte, enlevée au vol d'un dragon, roux d'écaille, ongles d'acier, aile
19de membranes griffues, une péri au diadème féerique et fulgurant
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rayonne la vertigineuse auréole, blanche, et qui semble tourner comme une roue vibrante et rotatoire.
Le Sphinx46 : le long d'un rocher, où rêve, au sommet, l'étrange Sphinx couronné, couché au pied d'une colonne de lapis-lazuli ; de l'azur solide, des corps blancs dégringolent – par une échancrure des rocs, la mer qui semble rouler une poussière saphyrienne.
L'Étoile du matin47 – d'un encadrement octogone, dans un ciel nocture, respecté des chimériques dragons qui se tordent en la bordure, une femme nue apparaît – un hibou noir volette à ses pieds – elle est très blanche, rayonne comme un astre, et monte comme un oiseau.
Une curieuse Léda à l'huile48 – des premières toiles de Gustave Moreaui ; un Narcisse49, un St Michel50, un St Martin51, une Pietà52.
Une Péri53 : un étang nocturne entrouvre ses ondes lourdes, pour l'évasement d'une fleur gigantesque aux larges calices, et comme sortie de la caillée dans le ciel bleuâtre où veille une lune balafrée de nuages, au dessus d'un décor de rêve, où apparaît une vague cité de dômes et de flèches, monte, enlevée au vol d'un dragon, roux d'écaille, ongles d'acier, ailes de membranes griffues, une péri au diadème féerique et fulgurant
Édition numérique des Cahiers d’Henri de Régnier