02Un vieux rêve d'autrefois m'est revenu ce matin au réveil....
03J'étais dans une chambre, les murs étaient tendus d'un papier à fond blanc
04semé de fleurs bleues, il pendait détaché en lambeaux,
montrant
05la trame d'une toile grossière qui oscillait sur les châssis,
06le carrelage inégal et vacillant était du rouge pâle et
blanchissant
07d'une tache de sang lavée à grande eau, et sur un grand lit
08sans rideaux, d'où l'on voyait par la fenêtre un ciel
uniformément
09gris, j'étais couché auprès d'une femme nue, blonde, aux seins
10à peine proéminents, et dont les
baisers nos bouches, étaient
11unies, et sa langue touchait la mienne, et ses baisers me laissaient
12sur les lèvres le goût saumâtre d'un sel
marin41.....
13Vu les Gustave Moreaui d'Hayemi.
14L'Apparition42 – Huysmansi l'a décrite en mots inoubliable4344
15Seulement il a rendu le tableau plus étincelant qu'il n'est.
16 L'atmosphère générale est lourde, la coloration est lourde. Au
17premiers regard c'est sombre, puis, il semble que pour les yeux
18qui scrutent les mystères de ces fenêtres où l'ont sent se dresser des
19murailles où dorment les flamboiements des joyaux, une lumière
20se fasse,. Il y a un mystérieux fiat lux, la toile s'éclaire d'une lumière
21et aux yeux apparaissent et éclatent des gloires et des éclairséclats
22insoupçonnés.
23La tête du saint45 est terrible – la chevelure tombante, se prolonge
24en mèches de sang, et autour d'un nimbe de mosaïques
Un vieux rêve d'autrefois m'est revenu ce matin au réveil... J'étais dans une chambre, les murs étaient tendus d'un papier à fond blanc semé de fleurs bleues, il pendait détaché en lambeaux, montrant la trame d'une toile grossière qui oscillait sur les châssis, le carrelage inégal et vacillant était du rouge pâle et blanchissant d'une tache de sang lavée à grande eau, et sur un grand lit sans rideaux, d'où l'on voyait par la fenêtre un ciel uniformément gris, j'étais couché auprès d'une femme nue, blonde, aux seins à peine proéminents, et nos bouches étaient unies, et sa langue touchait la mienne, et ses baisers me laissaient sur les lèvres le goût saumâtre d'un sel marin41...
Vu les Gustave Moreaui d'Hayemi.
L'Apparition42 – Huysmansi l'a décrite en mots inoubliables4344. Seulement il a rendu le tableau plus étincelant qu'il n'est. L'atmosphère générale est lourde, la coloration est lourde. Au premier regard, c'est sombre, puis, il semble que pour les yeux qui scrutent les mystères de ces fenêtres où l'on sent se dresser des murailles où dorment les flamboiements des joyaux, une lumière se fasse. Il y a un mystérieux fiat lux, la toile s'éclaire d'une lumière et aux yeux apparaissent et éclatent des gloires et des éclats insoupçonnés.
La tête du saint45 est terrible – la chevelure tombante se prolonge en mèches de sang, et autour d'un nimbe de mosaïques
02Un vieux rêve d'autrefois m'est revenu ce matin au réveil....
03J'étais dans une chambre, les murs étaient tendus d'un papier à fond blanc
04semé de fleurs bleues, il pendait détaché en lambeaux,
montrant
05la trame d'une toile grossière qui oscillait sur les châssis,
06le carrelage inégal et vacillant était du rouge pâle et
blanchissant
07d'une tache de sang lavée à grande eau, et sur un grand lit
08sans rideaux, d'où l'on voyait par la fenêtre un ciel
uniformément
09gris, j'étais couché auprès d'une femme nue, blonde, aux seins
10à peine proéminents, et dont les
baisers nos bouches, étaient
11unies, et sa langue touchait la mienne, et ses baisers me laissaient
12sur les lèvres le goût saumâtre d'un sel
marin41.....
13Vu les Gustave Moreaui d'Hayemi.
14L'Apparition42 – Huysmansi l'a décrite en mots inoubliable4344
15Seulement il a rendu le tableau plus étincelant qu'il n'est.
16 L'atmosphère générale est lourde, la coloration est lourde. Au
17premiers regard c'est sombre, puis, il semble que pour les yeux
18qui scrutent les mystères de ces fenêtres où l'ont sent se dresser des
19murailles où dorment les flamboiements des joyaux, une lumière
20se fasse,. Il y a un mystérieux fiat lux, la toile s'éclaire d'une lumière
21et aux yeux apparaissent et éclatent des gloires et des éclairséclats
22insoupçonnés.
23La tête du saint45 est terrible – la chevelure tombante, se prolonge
24en mèches de sang, et autour d'un nimbe de mosaïques
Un vieux rêve d'autrefois m'est revenu ce matin au réveil... J'étais dans une chambre, les murs étaient tendus d'un papier à fond blanc semé de fleurs bleues, il pendait détaché en lambeaux, montrant la trame d'une toile grossière qui oscillait sur les châssis, le carrelage inégal et vacillant était du rouge pâle et blanchissant d'une tache de sang lavée à grande eau, et sur un grand lit sans rideaux, d'où l'on voyait par la fenêtre un ciel uniformément gris, j'étais couché auprès d'une femme nue, blonde, aux seins à peine proéminents, et nos bouches étaient unies, et sa langue touchait la mienne, et ses baisers me laissaient sur les lèvres le goût saumâtre d'un sel marin41...
Vu les Gustave Moreaui d'Hayemi.
L'Apparition42 – Huysmansi l'a décrite en mots inoubliables4344. Seulement il a rendu le tableau plus étincelant qu'il n'est. L'atmosphère générale est lourde, la coloration est lourde. Au premier regard, c'est sombre, puis, il semble que pour les yeux qui scrutent les mystères de ces fenêtres où l'on sent se dresser des murailles où dorment les flamboiements des joyaux, une lumière se fasse. Il y a un mystérieux fiat lux, la toile s'éclaire d'une lumière et aux yeux apparaissent et éclatent des gloires et des éclats insoupçonnés.
La tête du saint45 est terrible – la chevelure tombante se prolonge en mèches de sang, et autour d'un nimbe de mosaïques