02Il y a là une singulière unité de désuétude qui va des arbres se
03dénudant aux squelette ostéologies métalliques des baraques désertées,
04 et à la rigidité des becs de
gaz, tout droits et amputés de leurs
05 lanternes.
06Le kiosque de musique central, dresse ses piliers, dont les de
07 toiles sont carguées, les maisons en treillis
les baraques en treillis vert
08 s'adossent en cercle aux massifs – le théâtre est emmitouflé
09 d'une toile où l'ombre des branches environnantes se dessine en lacis
10
Vue l'éventaire vide de la fleuriste et des bars désert de leur fées fardées
11 des jours de fête et de leur stalagmites de verreries, et au fondde chaque boutique, une
12
grande glace répercute un coin du paysage admiré, comme
13 dans
un songe, lucide et vacillant, et mon allure de promeneur.
14Que la grandeur de nos douleurs soit la récompense de la médiocrité de nos joies
15Lemaitre a souvent des coucheries avec des femmes un peu
16âgées ce qui faisait dire à Becque : Lemaitre... ah oui
17 un petit vieux qui couche toujours dans des démolitions
18Des mots de Barbey d'Aurevilly :
19Sur la mort de Caro : C'est la plus grande perte que
20 pouvait faire le ridicule Français.
21Zola : il est entré dans les écuries d'Augias pour y ajouter
Il y a là une singulière unité de désuétude qui va des arbres se dénudant aux ostéologies métalliques des baraques désertées, et à la rigidité des becs de gaz, tout droits et amputés de leurs lanternes.
Le kiosque de musique central dresse ses piliers, dont les de toiles sont carguées ; les baraques en treillis vert s'adossent en cercle aux massifs ; le théâtre est emmitouflé d'une toile où l'ombre des branches environnantes se dessine en lacis. Vu l'éventaire vide de la fleuriste et des bars déserts de leurs fées fardées des jours de fête et de leurs stalagmites de verreries, et au fondde chaque boutique, une grande glace répercute un coin du paysage admiré, comme dans un songe, lucide et vacillant, et mon allure de promeneur.
Que la grandeur de nos douleurs soit la récompense de la médiocrité de nos joies.
Lemaitre a souvent des coucheries avec des femmes un peu âgées, ce qui faisait dire à Becque : "Lemaitre... ah oui, un petit vieux qui couche toujours dans des démolitions."
Des mots de Barbey d'Aurevilly :
Sur la mort de Caro : " C'est la plus grande perte que pouvait faire le ridicule français."
Zola : "Il est entré dans les écuries d'Augias pour y ajouter."
02Il y a là une singulière unité de désuétude qui va des arbres se
03dénudant aux squelette ostéologies métalliques des baraques désertées,
04 et à la rigidité des becs de
gaz, tout droits et amputés de leurs
05 lanternes.
06Le kiosque de musique central, dresse ses piliers, dont les de
07 toiles sont carguées, les maisons en treillis
les baraques en treillis vert
08 s'adossent en cercle aux massifs – le théâtre est emmitouflé
09 d'une toile où l'ombre des branches environnantes se dessine en lacis
10
Vue l'éventaire vide de la fleuriste et des bars désert de leur fées fardées
11 des jours de fête et de leur stalagmites de verreries, et au fondde chaque boutique, une
12
grande glace répercute un coin du paysage admiré, comme
13 dans
un songe, lucide et vacillant, et mon allure de promeneur.
14Que la grandeur de nos douleurs soit la récompense de la médiocrité de nos joies
15Lemaitre a souvent des coucheries avec des femmes un peu
16âgées ce qui faisait dire à Becque : Lemaitre... ah oui
17 un petit vieux qui couche toujours dans des démolitions
18Des mots de Barbey d'Aurevilly :
19Sur la mort de Caro : C'est la plus grande perte que
20 pouvait faire le ridicule Français.
21Zola : il est entré dans les écuries d'Augias pour y ajouter
Il y a là une singulière unité de désuétude qui va des arbres se dénudant aux ostéologies métalliques des baraques désertées, et à la rigidité des becs de gaz, tout droits et amputés de leurs lanternes.
Le kiosque de musique central dresse ses piliers, dont les de toiles sont carguées ; les baraques en treillis vert s'adossent en cercle aux massifs ; le théâtre est emmitouflé d'une toile où l'ombre des branches environnantes se dessine en lacis. Vu l'éventaire vide de la fleuriste et des bars déserts de leurs fées fardées des jours de fête et de leurs stalagmites de verreries, et au fondde chaque boutique, une grande glace répercute un coin du paysage admiré, comme dans un songe, lucide et vacillant, et mon allure de promeneur.
Que la grandeur de nos douleurs soit la récompense de la médiocrité de nos joies.
Lemaitre a souvent des coucheries avec des femmes un peu âgées, ce qui faisait dire à Becque : "Lemaitre... ah oui, un petit vieux qui couche toujours dans des démolitions."
Des mots de Barbey d'Aurevilly :
Sur la mort de Caro : " C'est la plus grande perte que pouvait faire le ridicule français."
Zola : "Il est entré dans les écuries d'Augias pour y ajouter."