02Beyle faisait du Stendhal d'après Beyle et
Barrès en fait
03 d'après Stendhal. Cela différencie et
juge.
04En partant pour Rethel je vais voir Verlaine et lui dis :
05
Vous avez habitez là, longtemps, si vous avez quelque
06 commission pour un ami. –
07Il a cherché longtems, et il m'a répondu : Si vous voyez
08
M. X... le maître du Café de la Sous-Préfecture, dites-lui
09 bonjour de ma part –.
10Et c'était tout.
11Les femmes que je rencontrais autrefois m'intéressaient en ce
12 qu'elles pouvaient se mêler à ma vie.
Maintenant
13 leur vie m'intéresse, par elle-même, et parce qu'elle est dans
14 la vie des autres –
extérieurement.
15Je vis sans espoir de vivre.
16D'après Valmont, l'amour apparaît comme une chose compliquée
17 difficile, et exigeant l'emploi de toutes les facultés, une continuelle
18 ingéniosité, une
perpétuelle analyse. De là on a la sensation
19 d'une tension, d'un malaise auquel met fin le coup
d'épée final
Beyle faisait du Stendhal d'après Beyle et Barrès en fait d'après Stendhal. Cela différencie et juge.
En partant pour Rethel je vais voir Verlaine et lui dis : "Vous avez habitez là, longtemps, si vous avez quelque commission pour un ami."
Il a cherché longtems, et il m'a répondu : "Si vous voyez M. X... le maître du Café de la Sous-Préfecture, dites-lui bonjour de ma part."
Et c'était tout.
Les femmes que je rencontrais autrefois m'intéressaient en ce qu'elles pouvaient se mêler à ma vie. Maintenant leur vie m'intéresse, par elle-même, et parce qu'elle est dans la vie des autres – extérieurement.
Je vis sans espoir de vivre.
D'après Valmont, l'amour apparaît comme une chose compliquée, difficile, et exigeant l'emploi de toutes les facultés, une continuelle ingéniosité, une perpétuelle analyse. De là on a la sensation d'une tension, d'un malaise auquel met fin le coup d'épée final.
02Beyle faisait du Stendhal d'après Beyle et
Barrès en fait
03 d'après Stendhal. Cela différencie et
juge.
04En partant pour Rethel je vais voir Verlaine et lui dis :
05
Vous avez habitez là, longtemps, si vous avez quelque
06 commission pour un ami. –
07Il a cherché longtems, et il m'a répondu : Si vous voyez
08
M. X... le maître du Café de la Sous-Préfecture, dites-lui
09 bonjour de ma part –.
10Et c'était tout.
11Les femmes que je rencontrais autrefois m'intéressaient en ce
12 qu'elles pouvaient se mêler à ma vie.
Maintenant
13 leur vie m'intéresse, par elle-même, et parce qu'elle est dans
14 la vie des autres –
extérieurement.
15Je vis sans espoir de vivre.
16D'après Valmont, l'amour apparaît comme une chose compliquée
17 difficile, et exigeant l'emploi de toutes les facultés, une continuelle
18 ingéniosité, une
perpétuelle analyse. De là on a la sensation
19 d'une tension, d'un malaise auquel met fin le coup
d'épée final
Beyle faisait du Stendhal d'après Beyle et Barrès en fait d'après Stendhal. Cela différencie et juge.
En partant pour Rethel je vais voir Verlaine et lui dis : "Vous avez habitez là, longtemps, si vous avez quelque commission pour un ami."
Il a cherché longtems, et il m'a répondu : "Si vous voyez M. X... le maître du Café de la Sous-Préfecture, dites-lui bonjour de ma part."
Et c'était tout.
Les femmes que je rencontrais autrefois m'intéressaient en ce qu'elles pouvaient se mêler à ma vie. Maintenant leur vie m'intéresse, par elle-même, et parce qu'elle est dans la vie des autres – extérieurement.
Je vis sans espoir de vivre.
D'après Valmont, l'amour apparaît comme une chose compliquée, difficile, et exigeant l'emploi de toutes les facultés, une continuelle ingéniosité, une perpétuelle analyse. De là on a la sensation d'une tension, d'un malaise auquel met fin le coup d'épée final.