01
02150
de cloches lointaines.
03Et ecce, infantia mea olim mortua est, et ego vivo
04St. Aug.
05Le Conte de Lisle c'est plutôt le Conte de l'Iliade qu'il faudrait
06Ordre de travail :
07après-midi suivre les Soirs intimes et mondains
08Soir – travailler Glorioles .
09Comme mon travail de l'année est lent à s'organiser – j'ai je ne
10 sais quoi qui m'obstrue des hésitations de sujet et des doutes de rythme
11 et tout cela fait des heures lourdes,
inutiles et ressassantes.
12Un roman à faire sur le mariage – oh sans pudeur par exemple, – et
13 y examiner le rôle des questions
de lit.
14Le rapport sexuel sous la forme de : l'amour sous la main est pour
15 beaucoup le but du mariage –
ensuite la lutte s'établit et se
16 perpétue. Je vois très clairement maintenant combien c'est
17
compliqué. Ce que m'a dit Marie V... ce que j'ai dit de
18
M. et de C... L.
19Le vieux d'Aurevilly a donné dans Ce qui ne meurt pas, une des
raisons pour
20 lesquelles la femme se donne : il appelle cela la pitié et je crois que
21 c'est vrai – Le mot de Sophie Arnould, c'est si peu de chose et leur fait
22 tant de plaisir .. Tout cela s'enchaîne
150
de cloches lointaines.
Et ecce, infantia mea olim mortua est, et ego vivo
Saint Augustin
Le Conte de Lisle c'est plutôt le Conte de l'Iliade qu'il faudrait dire.
Ordre de travail :
Après-midi suivre Les Soirs intimes et mondains ;
Soir – travailler Glorioles .
Comme mon travail de l'année est lent à s'organiser – j'ai je ne sais quoi qui m'obstrue, des hésitations de sujet et des doutes de rythme et tout cela fait des heures lourdes, inutiles et ressassantes.
Un roman à faire sur le mariage – oh sans pudeur par exemple, – et y examiner le rôle des questions de lit.
Le rapport sexuel sous la forme de : l'amour sous la main est pour beaucoup le but du mariage – ensuite la lutte s'établit et se perpétue. Je vois très clairement maintenant combien c'est compliqué. Ce que m'a dit Marie V... ce que j'ai dit de M. et de C... L.
Le vieux d'Aurevilly a donné dans Ce qui ne meurt pas, une des raisons pour lesquelles la femme se donne : il appelle cela la pitié et je crois que c'est vrai. – Le mot de Sophie Arnould : "c'est si peu de chose et cela leur fait tant de plaisir".. Tout cela s'enchaîne.
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de cloches lointaines.
03Et ecce, infantia mea olim mortua est, et ego vivo
04St. Aug.
05Le Conte de Lisle c'est plutôt le Conte de l'Iliade qu'il faudrait
06Ordre de travail :
07après-midi suivre les Soirs intimes et mondains
08Soir – travailler Glorioles .
09Comme mon travail de l'année est lent à s'organiser – j'ai je ne
10 sais quoi qui m'obstrue des hésitations de sujet et des doutes de rythme
11 et tout cela fait des heures lourdes,
inutiles et ressassantes.
12Un roman à faire sur le mariage – oh sans pudeur par exemple, – et
13 y examiner le rôle des questions
de lit.
14Le rapport sexuel sous la forme de : l'amour sous la main est pour
15 beaucoup le but du mariage –
ensuite la lutte s'établit et se
16 perpétue. Je vois très clairement maintenant combien c'est
17
compliqué. Ce que m'a dit Marie V... ce que j'ai dit de
18
M. et de C... L.
19Le vieux d'Aurevilly a donné dans Ce qui ne meurt pas, une des
raisons pour
20 lesquelles la femme se donne : il appelle cela la pitié et je crois que
21 c'est vrai – Le mot de Sophie Arnould, c'est si peu de chose et leur fait
22 tant de plaisir .. Tout cela s'enchaîne
150
de cloches lointaines.
Et ecce, infantia mea olim mortua est, et ego vivo
Saint Augustin
Le Conte de Lisle c'est plutôt le Conte de l'Iliade qu'il faudrait dire.
Ordre de travail :
Après-midi suivre Les Soirs intimes et mondains ;
Soir – travailler Glorioles .
Comme mon travail de l'année est lent à s'organiser – j'ai je ne sais quoi qui m'obstrue, des hésitations de sujet et des doutes de rythme et tout cela fait des heures lourdes, inutiles et ressassantes.
Un roman à faire sur le mariage – oh sans pudeur par exemple, – et y examiner le rôle des questions de lit.
Le rapport sexuel sous la forme de : l'amour sous la main est pour beaucoup le but du mariage – ensuite la lutte s'établit et se perpétue. Je vois très clairement maintenant combien c'est compliqué. Ce que m'a dit Marie V... ce que j'ai dit de M. et de C... L.
Le vieux d'Aurevilly a donné dans Ce qui ne meurt pas, une des raisons pour lesquelles la femme se donne : il appelle cela la pitié et je crois que c'est vrai. – Le mot de Sophie Arnould : "c'est si peu de chose et cela leur fait tant de plaisir".. Tout cela s'enchaîne.