02l'île est là-bas déjà bleuâtre et nocturne, en un crépuscule mémorial
03 L'an suivant l'amour fini, l'homme revient à ce pays c'est l'hiver
04 le fleuv
et grossi, et bourbeux et recouvre l'île immergée
05À faire, des Contes qui s'appelleront : les Peurs Bourgeoises.
06Tout ce que le Bourgeois hait parce qu'il ne le comprend pas.
07 la poésie, l'art – la religion.
08ce dont il a peur instinctivement et comme il renifle
09 la mort, l'enfant, la Révolution, les vagabonds – histoi de mr
Richou – qui
10 faisait croire à ses enfants que les mendiants étaient des voleurs
11ce qu'il hait par réflexion
12 l'enfant,
13Le bonheur est un équilibre entre le désir et sa réalisation.
14Douceur des nuits d'étoiles avec ces trois seuls bruits.. un rien de vent aux ramures proches
15 le passage brusque – sifflet et tonnerre – d'un train et le chant guttural
d'un coq qui s'éparpille
16 et réveille au loin.
17Le train s'applaudit et se siffle lui-même.
L'île est là-bas déjà bleuâtre et nocturne, en un crépuscule mémorial. L'an suivant, l'amour fini, l'homme revient à ce pays ; c'est l'hiver, le fleuve est grossi, et bourbeux, et recouvre l'île immergée.
À faire, des Contes qui s'appelleront : Les Peurs Bourgeoises.
Tout ce que le Bourgeois hait parce qu'il ne le comprend pas : la poésie, l'art – la religion.
Ce dont il a peur instinctivement et comme il renifle : la mort, la Révolution, les vagabonds – histoire de M. Richou, qui faisait croire à ses enfants que les mendiants étaient des voleurs.
Ce qu'il hait par réflexion : l'enfant, ...
Le bonheur est un équilibre entre le désir et sa réalisation.
Douceur des nuits d'étoiles avec ces trois seuls bruits : un rien de vent aux ramures proches, le passage brusque – sifflet et tonnerre – d'un train et le chant guttural d'un coq qui s'éparpille et réveille au loin.
Le train s'applaudit et se siffle lui-même.
02l'île est là-bas déjà bleuâtre et nocturne, en un crépuscule mémorial
03 L'an suivant l'amour fini, l'homme revient à ce pays c'est l'hiver
04 le fleuv
et grossi, et bourbeux et recouvre l'île immergée
05À faire, des Contes qui s'appelleront : les Peurs Bourgeoises.
06Tout ce que le Bourgeois hait parce qu'il ne le comprend pas.
07 la poésie, l'art – la religion.
08ce dont il a peur instinctivement et comme il renifle
09 la mort, l'enfant, la Révolution, les vagabonds – histoi de mr
Richou – qui
10 faisait croire à ses enfants que les mendiants étaient des voleurs
11ce qu'il hait par réflexion
12 l'enfant,
13Le bonheur est un équilibre entre le désir et sa réalisation.
14Douceur des nuits d'étoiles avec ces trois seuls bruits.. un rien de vent aux ramures proches
15 le passage brusque – sifflet et tonnerre – d'un train et le chant guttural
d'un coq qui s'éparpille
16 et réveille au loin.
17Le train s'applaudit et se siffle lui-même.
L'île est là-bas déjà bleuâtre et nocturne, en un crépuscule mémorial. L'an suivant, l'amour fini, l'homme revient à ce pays ; c'est l'hiver, le fleuve est grossi, et bourbeux, et recouvre l'île immergée.
À faire, des Contes qui s'appelleront : Les Peurs Bourgeoises.
Tout ce que le Bourgeois hait parce qu'il ne le comprend pas : la poésie, l'art – la religion.
Ce dont il a peur instinctivement et comme il renifle : la mort, la Révolution, les vagabonds – histoire de M. Richou, qui faisait croire à ses enfants que les mendiants étaient des voleurs.
Ce qu'il hait par réflexion : l'enfant, ...
Le bonheur est un équilibre entre le désir et sa réalisation.
Douceur des nuits d'étoiles avec ces trois seuls bruits : un rien de vent aux ramures proches, le passage brusque – sifflet et tonnerre – d'un train et le chant guttural d'un coq qui s'éparpille et réveille au loin.
Le train s'applaudit et se siffle lui-même.