02L'homme vaut la femme mais c'est bien tout
03Il faudrait se créer des sources d'intérêt, de rêverie, en dehors de
04 la femme pour pouvoir lui résister par le
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? puisé là, qu'on lui imopposerait.
05Plus je vis, plus je suis frappé des ressemblances – il y a cinq ou six
06 variétés auxquelles tout se
rapporte (La maîtresse d'auberge de
07
Montrésor qui ressemble à ma cousine du L...., un bonhomme à table
08 d'hôte qui est Tausserat – une femme en wagon qui est cette madame
09 Charle de La
Lille.)
10C'est comme une figure initiale perçue qui se répercute à l'infini
11 en variations d'âge, de beauté,
ou de laideur.
12Il a fallu un formidable source personnelle à Stendhal pour ne pas
13 se perdre en la
vie active qu'il mena, il reste lui parmi tant
14 de changements, décèle une force assimilante inouïe
15Il y a peut-être deux sortes d'esprits : ceux qui assimilent les
16 éléments étrange – ceux qui se désagrègent ou se polissent à leur
17 contact.
L'homme vaut la femme mais c'est bien tout.
Il faudrait se créer des sources d'intérêt, de rêverie, en dehors de la femme, pour pouvoir lui résister par le ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? puisé là, qu'on lui opposerait.
Plus je vis, plus je suis frappé des ressemblances – il y a cinq ou six variétés auxquelles tout se rapporte (la maîtresse d'auberge de Montrésor qui ressemble à ma cousine du L...., un bonhomme à la table d'hôte qui est Tausserat, une femme en wagon qui est cette madame Charle de La Lille).
C'est comme une figure initiale perçue qui se répercute à l'infini en variations d'âge, de beauté, ou de laideur.
Il a fallu une formidable source personnelle à Stendhal pour ne pas se perdre en la vie active qu'il mena ; il reste lui parmi tant de changements, décèle une force assimilante inouïe.
Il y a peut-être deux sortes d'esprits : ceux qui assimilent les éléments étrangers – ceux qui se désagrègent ou se polissent à leur contact.
02L'homme vaut la femme mais c'est bien tout
03Il faudrait se créer des sources d'intérêt, de rêverie, en dehors de
04 la femme pour pouvoir lui résister par le
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? puisé là, qu'on lui imopposerait.
05Plus je vis, plus je suis frappé des ressemblances – il y a cinq ou six
06 variétés auxquelles tout se
rapporte (La maîtresse d'auberge de
07
Montrésor qui ressemble à ma cousine du L...., un bonhomme à table
08 d'hôte qui est Tausserat – une femme en wagon qui est cette madame
09 Charle de La
Lille.)
10C'est comme une figure initiale perçue qui se répercute à l'infini
11 en variations d'âge, de beauté,
ou de laideur.
12Il a fallu un formidable source personnelle à Stendhal pour ne pas
13 se perdre en la
vie active qu'il mena, il reste lui parmi tant
14 de changements, décèle une force assimilante inouïe
15Il y a peut-être deux sortes d'esprits : ceux qui assimilent les
16 éléments étrange – ceux qui se désagrègent ou se polissent à leur
17 contact.
L'homme vaut la femme mais c'est bien tout.
Il faudrait se créer des sources d'intérêt, de rêverie, en dehors de la femme, pour pouvoir lui résister par le ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? puisé là, qu'on lui opposerait.
Plus je vis, plus je suis frappé des ressemblances – il y a cinq ou six variétés auxquelles tout se rapporte (la maîtresse d'auberge de Montrésor qui ressemble à ma cousine du L...., un bonhomme à la table d'hôte qui est Tausserat, une femme en wagon qui est cette madame Charle de La Lille).
C'est comme une figure initiale perçue qui se répercute à l'infini en variations d'âge, de beauté, ou de laideur.
Il a fallu une formidable source personnelle à Stendhal pour ne pas se perdre en la vie active qu'il mena ; il reste lui parmi tant de changements, décèle une force assimilante inouïe.
Il y a peut-être deux sortes d'esprits : ceux qui assimilent les éléments étrangers – ceux qui se désagrègent ou se polissent à leur contact.