01
02139
bourgeois pour tout ce qui est élevé, pour ce qui n'est pas drôle, et
03 sort de
l'anecdote contemporaine
04Dans ces moments-là il se dit et se pense "bien français .
05Et cette aversion pour toute tentative est native, irrémédiable, et fait
06 que ce que je tente d'écrire maintenant n'a pas de pire ennemi que lui
07 et je sens que s'il paraît un article hostile et qui m'est désagréable
08 cette attaque répond à msa pensée intime et qu'il s'en réjouit.
09
10Résolution. Vivre le plus possible en soi-même et ne livrer aux relations
11 amicales que son extériorité, sa main, son cœur, si on veut, mais
12 jamais ne dire mot de l'intime et du sacré de Soi.
13Toute cette soirée dernière j'ai souffert du vent qui hurlait dehors, j'en ai
14 souffert comme de l'insulte d'une voix vivante, et jamais
tant il ne m'a
15 semblé être quelqu'un.
16Ce n'était pas le vent désespéré, humide et sifflant de l'hiver, ni le vent
17 tournoyant et doux de l'automne qui s'acharne mélancoliquement
18 c'était un souffle rageur, intermittent, bousculeur, et d'un effet
19 d'agacement suprême.
139
bourgeois pour tout ce qui est élevé, pour ce qui n'est pas drôle, et sort de
l'anecdote contemporaine.
Dans ces moments-là il se dit et se pense "bien français".
Et cette aversion pour toute tentative est native, irrémédiable, et fait que ce que je tente d'écrire maintenant n'a pas de pire ennemi que lui, et je sens que s'il paraît un article hostile et qui m'est désagréable, cette attaque répond à sa pensée intime et qu'il s'en réjouit.
Résolution. Vivre le plus possible en soi-même et ne livrer aux relations amicales que son extériorité, sa main, son cœur, si on veut, mais jamais ne dire mot de l'intime et du sacré de Soi.
Toute cette soirée dernière j'ai souffert du vent qui hurlait dehors, j'en ai souffert comme de l'insulte d'une voix vivante, et jamais tant il ne m'a semblé être quelqu'un.
Ce n'était pas le vent désespéré, humide et sifflant de l'hiver, ni le vent tournoyant et doux de l'automne qui s'acharne mélancoliquement, c'était un souffle rageur, intermittent, bousculeur, et d'un effet d'agacement suprême.
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bourgeois pour tout ce qui est élevé, pour ce qui n'est pas drôle, et
03 sort de
l'anecdote contemporaine
04Dans ces moments-là il se dit et se pense "bien français .
05Et cette aversion pour toute tentative est native, irrémédiable, et fait
06 que ce que je tente d'écrire maintenant n'a pas de pire ennemi que lui
07 et je sens que s'il paraît un article hostile et qui m'est désagréable
08 cette attaque répond à msa pensée intime et qu'il s'en réjouit.
09
10Résolution. Vivre le plus possible en soi-même et ne livrer aux relations
11 amicales que son extériorité, sa main, son cœur, si on veut, mais
12 jamais ne dire mot de l'intime et du sacré de Soi.
13Toute cette soirée dernière j'ai souffert du vent qui hurlait dehors, j'en ai
14 souffert comme de l'insulte d'une voix vivante, et jamais
tant il ne m'a
15 semblé être quelqu'un.
16Ce n'était pas le vent désespéré, humide et sifflant de l'hiver, ni le vent
17 tournoyant et doux de l'automne qui s'acharne mélancoliquement
18 c'était un souffle rageur, intermittent, bousculeur, et d'un effet
19 d'agacement suprême.
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bourgeois pour tout ce qui est élevé, pour ce qui n'est pas drôle, et sort de
l'anecdote contemporaine.
Dans ces moments-là il se dit et se pense "bien français".
Et cette aversion pour toute tentative est native, irrémédiable, et fait que ce que je tente d'écrire maintenant n'a pas de pire ennemi que lui, et je sens que s'il paraît un article hostile et qui m'est désagréable, cette attaque répond à sa pensée intime et qu'il s'en réjouit.
Résolution. Vivre le plus possible en soi-même et ne livrer aux relations amicales que son extériorité, sa main, son cœur, si on veut, mais jamais ne dire mot de l'intime et du sacré de Soi.
Toute cette soirée dernière j'ai souffert du vent qui hurlait dehors, j'en ai souffert comme de l'insulte d'une voix vivante, et jamais tant il ne m'a semblé être quelqu'un.
Ce n'était pas le vent désespéré, humide et sifflant de l'hiver, ni le vent tournoyant et doux de l'automne qui s'acharne mélancoliquement, c'était un souffle rageur, intermittent, bousculeur, et d'un effet d'agacement suprême.