02J'ai rarement senti le poids de la vie comme ces jours-ci, et jamais je
03 n'ai éprouvé une plus complète impuissance.
04Non seulement je ne peux pas travailler, mais même la lecture du travail
05 des autres m'est pénible – un reproche et un défi.
06Mardi 24 Juillet après-midi. au bois. je longe le lac – une grande bande de
07 soleil s'y écaille en flots brefs, l'extrémité de l'île se prolonge dans l'eau lumineuse
08 la projection de l'ombre d'un grand arbre. Vers du pain que'une femme émiette
09 un grand cygne blanc
s'empresse à toute vogue héraldique et fabuleux
10 avec une incomparable grâce. Ces grands oiseaux flotteurs et paresseux
11 ont des flexibilité de col exquise, et quand hors de l'eau ils éploient leurs
12 ailes battantes ils sont vraiment divins et mythiques.
13 Çà et là, dans cet aspect de promenade des endroits rares et beaux :
14
Des courbes de gazon descendent vers le lac parmi des arbres et une femme
15 assise, malgré son costume moderne y Chavannise doucement..
16 Une amplitude de ciel sur une prairie bouquettée d'arbres et parmi
17 des pins nains tristes et métalliques.
18Au détour d'une allée, une touffe de grands roseaux, dans une
19 onde calme mirés
J'ai rarement senti le poids de la vie comme ces jours-ci, et jamais je n'ai éprouvé une plus complète impuissance.
Non seulement je ne peux pas travailler, mais même la lecture du travail des autres m'est pénible – un reproche et un défi.
Mardi 24 juillet après-midi. Au bois. Je longe le lac – une grande bande de soleil s'y écaille en flots brefs, l'extrémité de l'île se prolonge dans l'eau lumineusepar la projection de l'ombre d'un grand arbre. Vers du pain qu'une femme émiette un grand cygne blanc s'empresse à toute vogue, héraldique et fabuleux, avec une incomparable grâce. Ces grands oiseaux flotteurs et paresseux ont des flexibilités de col exquise, et quand hors de l'eau ils éploient leurs ailes battantes, ils sont vraiment divins et mythiques. Çà et là, dans cet aspect de promenade, des endroits rares et beaux : des courbes de gazon descendent vers le lac parmi des arbres et une femme assise, malgré son costume moderne, y chavannise doucement.. Une amplitude de ciel sur une prairie bouquetée d'arbres et parmi des pins nains tristes et métalliques.
Au détour d'une allée, une touffe de grands roseaux, dans une onde calme mirés.
02J'ai rarement senti le poids de la vie comme ces jours-ci, et jamais je
03 n'ai éprouvé une plus complète impuissance.
04Non seulement je ne peux pas travailler, mais même la lecture du travail
05 des autres m'est pénible – un reproche et un défi.
06Mardi 24 Juillet après-midi. au bois. je longe le lac – une grande bande de
07 soleil s'y écaille en flots brefs, l'extrémité de l'île se prolonge dans l'eau lumineuse
08 la projection de l'ombre d'un grand arbre. Vers du pain que'une femme émiette
09 un grand cygne blanc
s'empresse à toute vogue héraldique et fabuleux
10 avec une incomparable grâce. Ces grands oiseaux flotteurs et paresseux
11 ont des flexibilité de col exquise, et quand hors de l'eau ils éploient leurs
12 ailes battantes ils sont vraiment divins et mythiques.
13 Çà et là, dans cet aspect de promenade des endroits rares et beaux :
14
Des courbes de gazon descendent vers le lac parmi des arbres et une femme
15 assise, malgré son costume moderne y Chavannise doucement..
16 Une amplitude de ciel sur une prairie bouquettée d'arbres et parmi
17 des pins nains tristes et métalliques.
18Au détour d'une allée, une touffe de grands roseaux, dans une
19 onde calme mirés
J'ai rarement senti le poids de la vie comme ces jours-ci, et jamais je n'ai éprouvé une plus complète impuissance.
Non seulement je ne peux pas travailler, mais même la lecture du travail des autres m'est pénible – un reproche et un défi.
Mardi 24 juillet après-midi. Au bois. Je longe le lac – une grande bande de soleil s'y écaille en flots brefs, l'extrémité de l'île se prolonge dans l'eau lumineusepar la projection de l'ombre d'un grand arbre. Vers du pain qu'une femme émiette un grand cygne blanc s'empresse à toute vogue, héraldique et fabuleux, avec une incomparable grâce. Ces grands oiseaux flotteurs et paresseux ont des flexibilités de col exquise, et quand hors de l'eau ils éploient leurs ailes battantes, ils sont vraiment divins et mythiques. Çà et là, dans cet aspect de promenade, des endroits rares et beaux : des courbes de gazon descendent vers le lac parmi des arbres et une femme assise, malgré son costume moderne, y chavannise doucement.. Une amplitude de ciel sur une prairie bouquetée d'arbres et parmi des pins nains tristes et métalliques.
Au détour d'une allée, une touffe de grands roseaux, dans une onde calme mirés.