02Mercredi. 13 Ju.
03Samedi soir chez Khan avec Vielé... C'est rue Torricelli aux Ternes
04 Une chambre toute blanche . dans un coin une bibliothèque – sur une
05 table – lampe et livres. au mur des fragments de papiers japonais
06 quelques esquisses : un Guys, un Seurat. sur la cheminée une rue
07 de village de Signac où des poules picorent... C'est là que toute
08 la soirée nous causons et fumons.... Vielé est très influencé par
09Khan et l'interroge sur ce qu'il faut penser de diverses choses...
10 L'amour.. des choses
d'Algérie.. et un détail amusant : une femme
11 qui venait chez Kahn l'étonnait de son assiduité et la raison de cet
12 amour il la découvrit.. le logement lui plaisait. Il révèle que la
13 la grande force attractive d'Ajalbert est dans ceci : sa
connaissance
14 de l'âme des petites suburbaines.. il sait au juste ce qu'elles
15 convoitent et où il faut les mener
16Puis, constatée l'impossibilité de vie avec une femme : pas de
17 terrain commun.. et la lutte.
18Kahn a un grand pantalon blanc une veste noire et un bonnet.
19 Nous traverson d'autre pièces : une salle à manger où sont des malles – une chambre amusante de crêpons japonais où, nous dit
20
Khan il erre comme un chacal.
Mercredi 13 juin.
Samedi soir chez Kahn avec Vielé... C'est rue Torricelli, aux Ternes. Une chambre toute blanche : dans un coin, une bibliothèque ; sur une table, lampe et livres ; au mur, des fragments de papiers japonais, quelques esquisses : un Guys, un Seurat. Sur la cheminée, une rue de village de Signac, où des poules picorent... C'est là que, toute la soirée, nous causons et fumons.... Vielé est très influencé par Kahn et l'interroge sur ce qu'il faut penser de diverses choses... L'amour.. des choses d'Algérie.. et un détail amusant : une femme qui venait chez Kahn l'étonnait de son assiduité ; et la raison de cet amour, il la découvrit : le logement lui plaisait. Il révèle que la la grande force attractive d'Ajalbert est dans ceci : sa connaissance de l'âme des petites suburbaines.. il sait au juste ce qu'elles convoitent et où il faut les mener.
Puis, constatée l'impossibilité de vie avec une femme : pas de terrain commun.. et la lutte.
Kahn a un grand pantalon blanc une veste noire et un bonnet. Nous traversons d'autres pièces : une salle à manger où sont des malles – une chambre amusante de crêpons japonais où, nous dit Kahn, il erre comme un chacal.
02Mercredi. 13 Ju.
03Samedi soir chez Khan avec Vielé... C'est rue Torricelli aux Ternes
04 Une chambre toute blanche . dans un coin une bibliothèque – sur une
05 table – lampe et livres. au mur des fragments de papiers japonais
06 quelques esquisses : un Guys, un Seurat. sur la cheminée une rue
07 de village de Signac où des poules picorent... C'est là que toute
08 la soirée nous causons et fumons.... Vielé est très influencé par
09Khan et l'interroge sur ce qu'il faut penser de diverses choses...
10 L'amour.. des choses
d'Algérie.. et un détail amusant : une femme
11 qui venait chez Kahn l'étonnait de son assiduité et la raison de cet
12 amour il la découvrit.. le logement lui plaisait. Il révèle que la
13 la grande force attractive d'Ajalbert est dans ceci : sa
connaissance
14 de l'âme des petites suburbaines.. il sait au juste ce qu'elles
15 convoitent et où il faut les mener
16Puis, constatée l'impossibilité de vie avec une femme : pas de
17 terrain commun.. et la lutte.
18Kahn a un grand pantalon blanc une veste noire et un bonnet.
19 Nous traverson d'autre pièces : une salle à manger où sont des malles – une chambre amusante de crêpons japonais où, nous dit
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Khan il erre comme un chacal.
Mercredi 13 juin.
Samedi soir chez Kahn avec Vielé... C'est rue Torricelli, aux Ternes. Une chambre toute blanche : dans un coin, une bibliothèque ; sur une table, lampe et livres ; au mur, des fragments de papiers japonais, quelques esquisses : un Guys, un Seurat. Sur la cheminée, une rue de village de Signac, où des poules picorent... C'est là que, toute la soirée, nous causons et fumons.... Vielé est très influencé par Kahn et l'interroge sur ce qu'il faut penser de diverses choses... L'amour.. des choses d'Algérie.. et un détail amusant : une femme qui venait chez Kahn l'étonnait de son assiduité ; et la raison de cet amour, il la découvrit : le logement lui plaisait. Il révèle que la la grande force attractive d'Ajalbert est dans ceci : sa connaissance de l'âme des petites suburbaines.. il sait au juste ce qu'elles convoitent et où il faut les mener.
Puis, constatée l'impossibilité de vie avec une femme : pas de terrain commun.. et la lutte.
Kahn a un grand pantalon blanc une veste noire et un bonnet. Nous traversons d'autres pièces : une salle à manger où sont des malles – une chambre amusante de crêpons japonais où, nous dit Kahn, il erre comme un chacal.