02Alors sur l'orbe lumineux apparut la silhouette d'un homme en habit
03 qui nous saluait et nous faisait signe que le spectacle allait
commencer.
04Pourquoi Alcan Lévy s'est-il montré si Juif à mon égard je ne lui avais
05 pourtant pas dit que j'étais Chrétien
06Mallarmé disait l'autre soir : J'aime Dickens pour ses étonnants maniaques.
07À l'exposition des dessins de V. Hugo.
08Hugo est un sculpteur délicieux brutal, d'un gothique grotesque et d'une
09 chinoiserie allemande. Il y a une cheminée qu'il a sculptée de fleur
10 d'arabesques, et enrichie de faïence et de potiches. C'est barbare et charmant.
11 Dans les dessins il est près de Gustave
Doré et devance Redon. Tout le côté
12 larveux et lourd qui perce parfois dans son œuvre est là manifeste..
13 C'est l'amusement d'un prodigieux Eviradnus...
14Le manuscrit de la Légende des Siècles, sur papier bleu est là ouvert
15 à une page de ce poème, et les quelques corrections
indiquent une
16 tendance à renforcer le vers qui naît spontané, mais parfois incomplet
17 et un peu vide....
18Un certain respect s'exhale de ces reliques à penser ce qui se passait
19 en cette prodigieuse cervelle.
Alors sur l'orbe lumineux apparut la silhouette d'un homme en habit qui nous saluait et nous faisait signe que le spectacle allait commencer.
Pourquoi Alcan Lévy s'est-il montré si juif à mon égard ? Je ne lui avais pourtant pas dit que j'étais chrétien.
Mallarmé disait l'autre soir : "J'aime Dickens pour ses étonnants maniaques."
À l'exposition des dessins de V. Hugo.
Hugo est un sculpteur délicieux, brutal, d'un gothique grotesque et d'une chinoiserie allemande. Il y a une cheminée qu'il a sculptée de fleurs, d'arabesques, et enrichie de faïence et de potiches. C'est barbare et charmant. Dans les dessins il est près de Gustave Doré et devance Redon. Tout le côté larveux et lourd qui perce parfois dans son œuvre est là manifeste.. C'est l'amusement d'un prodigieux Eviradnus...
Le manuscrit de la Légende des Siècles, sur papier bleu est là ouvert à une page de ce poème, et les quelques corrections indiquent une tendance à renforcer le vers qui naît spontané, mais parfois incomplet et un peu vide....
Un certain respect s'exhale de ces reliques à penser ce qui se passait en cette prodigieuse cervelle.
02Alors sur l'orbe lumineux apparut la silhouette d'un homme en habit
03 qui nous saluait et nous faisait signe que le spectacle allait
commencer.
04Pourquoi Alcan Lévy s'est-il montré si Juif à mon égard je ne lui avais
05 pourtant pas dit que j'étais Chrétien
06Mallarmé disait l'autre soir : J'aime Dickens pour ses étonnants maniaques.
07À l'exposition des dessins de V. Hugo.
08Hugo est un sculpteur délicieux brutal, d'un gothique grotesque et d'une
09 chinoiserie allemande. Il y a une cheminée qu'il a sculptée de fleur
10 d'arabesques, et enrichie de faïence et de potiches. C'est barbare et charmant.
11 Dans les dessins il est près de Gustave
Doré et devance Redon. Tout le côté
12 larveux et lourd qui perce parfois dans son œuvre est là manifeste..
13 C'est l'amusement d'un prodigieux Eviradnus...
14Le manuscrit de la Légende des Siècles, sur papier bleu est là ouvert
15 à une page de ce poème, et les quelques corrections
indiquent une
16 tendance à renforcer le vers qui naît spontané, mais parfois incomplet
17 et un peu vide....
18Un certain respect s'exhale de ces reliques à penser ce qui se passait
19 en cette prodigieuse cervelle.
Alors sur l'orbe lumineux apparut la silhouette d'un homme en habit qui nous saluait et nous faisait signe que le spectacle allait commencer.
Pourquoi Alcan Lévy s'est-il montré si juif à mon égard ? Je ne lui avais pourtant pas dit que j'étais chrétien.
Mallarmé disait l'autre soir : "J'aime Dickens pour ses étonnants maniaques."
À l'exposition des dessins de V. Hugo.
Hugo est un sculpteur délicieux, brutal, d'un gothique grotesque et d'une chinoiserie allemande. Il y a une cheminée qu'il a sculptée de fleurs, d'arabesques, et enrichie de faïence et de potiches. C'est barbare et charmant. Dans les dessins il est près de Gustave Doré et devance Redon. Tout le côté larveux et lourd qui perce parfois dans son œuvre est là manifeste.. C'est l'amusement d'un prodigieux Eviradnus...
Le manuscrit de la Légende des Siècles, sur papier bleu est là ouvert à une page de ce poème, et les quelques corrections indiquent une tendance à renforcer le vers qui naît spontané, mais parfois incomplet et un peu vide....
Un certain respect s'exhale de ces reliques à penser ce qui se passait en cette prodigieuse cervelle.