01
               02123
 font face – Parmi lesquelles on remarque Velleda.. 
03 ..... Alexandre Dumas père  mais c'est un simple nègre de Tombouctou 
               
04 un obi qui s'assied au seuil de sa tente et amuse les gens d'histoires.. 
05 .... Nous croisons un grand monsieur pâle et blond, en long
               paletot 
06 redingote, à tournure de Lamy, qui est Vignier. 
07
                Que faites-vous aujourd'hui, mon cher  dit Vignier à Tailhad
               
08 – Oh rien à quoi vous ne puissiez participer  comme me 
09 voir écrire une brève lettre.......
10Isoler une journée du passé et de l'avenir et la vivre dans l'animal 
11 bonheur d'être. C'est ce qui m'est arrivé parfois en été, couché en le
               sable chaud 
12 de la Loire, et les heures coulaient et frissonnantes de clarté comme l'eau 
13 du fleuve, c'est
               évidemment une sensation équivalente à celle d'un 
14 jour d'amour absolu.
15J'ai aimé Salammbo, pour ses masses, ses couleurs, sa sonorité 
               
16 maintenant je l'aime d'une façon détaillé pour certains traits des 
17 phrases qui m'emplissent l'âme... comme après le corps d'une 
18 femme on en chérit les grains de beauté 
               123
 font face – parmi lesquelles on remarque Velleda..  ..... Alexandre Dumas père, mais c'est un simple nègre de Tombouctou,
                un obi qui s'assied au seuil de sa tente et amuse les gens d'histoires..  .... Nous croisons un grand monsieur pâle et blond, en long
               paletot  redingote, à tournure de Lamy, qui est Vignier. 
               "Que faites-vous aujourd'hui, mon cher, dit Vignier à Tailhade
                – Oh rien à quoi vous ne puissiez participer, comme me  voir écrire une brève lettre.......
Isoler une journée du passé et de l'avenir et la vivre dans l'animal bonheur d'être. C'est ce qui m'est arrivé parfois en été, couché en le sable chaud de la Loire, et les heures coulaient et frissonnantes de clarté comme l'eau du fleuve, c'est évidemment une sensation équivalente à celle d'un jour d'amour absolu.
J'ai aimé Salammbô, pour ses masses, ses couleurs, sa sonorité : maintenant je l'aime d'une façon détaillée pour certains traits des phrases qui m'emplissent l'âme... comme après le corps d'une femme on en chérit les grains de beauté.
01
               02123
 font face – Parmi lesquelles on remarque Velleda.. 
03 ..... Alexandre Dumas père  mais c'est un simple nègre de Tombouctou 
               
04 un obi qui s'assied au seuil de sa tente et amuse les gens d'histoires.. 
05 .... Nous croisons un grand monsieur pâle et blond, en long
               paletot 
06 redingote, à tournure de Lamy, qui est Vignier. 
07
                Que faites-vous aujourd'hui, mon cher  dit Vignier à Tailhad
               
08 – Oh rien à quoi vous ne puissiez participer  comme me 
09 voir écrire une brève lettre.......
10Isoler une journée du passé et de l'avenir et la vivre dans l'animal 
11 bonheur d'être. C'est ce qui m'est arrivé parfois en été, couché en le
               sable chaud 
12 de la Loire, et les heures coulaient et frissonnantes de clarté comme l'eau 
13 du fleuve, c'est
               évidemment une sensation équivalente à celle d'un 
14 jour d'amour absolu.
15J'ai aimé Salammbo, pour ses masses, ses couleurs, sa sonorité 
               
16 maintenant je l'aime d'une façon détaillé pour certains traits des 
17 phrases qui m'emplissent l'âme... comme après le corps d'une 
18 femme on en chérit les grains de beauté 
               123
 font face – parmi lesquelles on remarque Velleda..  ..... Alexandre Dumas père, mais c'est un simple nègre de Tombouctou,
                un obi qui s'assied au seuil de sa tente et amuse les gens d'histoires..  .... Nous croisons un grand monsieur pâle et blond, en long
               paletot  redingote, à tournure de Lamy, qui est Vignier. 
               "Que faites-vous aujourd'hui, mon cher, dit Vignier à Tailhade
                – Oh rien à quoi vous ne puissiez participer, comme me  voir écrire une brève lettre.......
Isoler une journée du passé et de l'avenir et la vivre dans l'animal bonheur d'être. C'est ce qui m'est arrivé parfois en été, couché en le sable chaud de la Loire, et les heures coulaient et frissonnantes de clarté comme l'eau du fleuve, c'est évidemment une sensation équivalente à celle d'un jour d'amour absolu.
J'ai aimé Salammbô, pour ses masses, ses couleurs, sa sonorité : maintenant je l'aime d'une façon détaillée pour certains traits des phrases qui m'emplissent l'âme... comme après le corps d'une femme on en chérit les grains de beauté.
 Édition numérique des Cahiers d’Henri de Régnier
 Édition numérique des Cahiers d’Henri de Régnier