01
02118v
l'été, l'été chaud, entrant par les fenêtres ouvertes sur de pauvres verdures
03 maigres sur le bleu du ciel,
l'été poudreux, et l'éternel retour des exercices
04 quotidiens, l'encens fané de la Chapelle, et les sorties au crépuscule le
05 soir..
06Les longues classes.. l'odeur de poussière des rideaux écrus, que jaunit le
07 soleil du dehors, la fadeur d'eau grasse des réfectoires, le
deux à deux
08 et la queue leu leu des rangs.
09Liberté relative, le restaurant, des modes d'Orient au Luxembourg
10 et les premières avidités de la vie
11Ô nulle envie
12
de cette vie
13Trop bel encor
14 Pour être mort
15de la tenue
16 On est connu !
17Chantez de doux airs dans le crépuscule
18 Chantez au fond des soirs et de la nuit
19 Au bout du chemin qui la ba ondule
20Dimanche d'Avril.
21N'est-ce pas pour moi l'hebdomadaire délice que me
22 souvenir. Ce séjour là-bas en la santé d'âme ou je me trouvais
23 fut comme la longue
conséquence d'une suite de Dimanches
24 tant les heures se succédèrent nerveuses et dépaysées
118v
l'été, l'été chaud, entrant par les fenêtres ouvertes sur de pauvres verdures maigres sur le bleu du ciel,
l'été poudreux, et l'éternel retour des exercices quotidiens, l'encens fané de la chapelle, et les sorties au crépuscule le
soir..
Les longues classes.. l'odeur de poussière des rideaux écrus, que jaunit le soleil du dehors, la fadeur d'eau grasse des réfectoires, le deux à deux et la queue leu leu des rangs.
Liberté relative, le restaurant, des modes d'Orient au Luxembourg et les premières avidités de la vie.
Ô nulle envie De cette vie
Trop bel encor Pour être mort
De la tenue On est connu !
Chantez de doux airs dans le crépuscule Chantez au fond des soirs et de la nuit Au bout du chemin qui là-bas ondule
Dimanche d'Avril.
N'est-ce pas pour moi l'hebdomadaire délice que me souvenir. Ce séjour là-bas en la santé d'âme ou je me trouvais fut comme la longue conséquence d'une suite de dimanches tant les heures se succédèrent nerveuses et dépaysées.
01
02118v
l'été, l'été chaud, entrant par les fenêtres ouvertes sur de pauvres verdures
03 maigres sur le bleu du ciel,
l'été poudreux, et l'éternel retour des exercices
04 quotidiens, l'encens fané de la Chapelle, et les sorties au crépuscule le
05 soir..
06Les longues classes.. l'odeur de poussière des rideaux écrus, que jaunit le
07 soleil du dehors, la fadeur d'eau grasse des réfectoires, le
deux à deux
08 et la queue leu leu des rangs.
09Liberté relative, le restaurant, des modes d'Orient au Luxembourg
10 et les premières avidités de la vie
11Ô nulle envie
12
de cette vie
13Trop bel encor
14 Pour être mort
15de la tenue
16 On est connu !
17Chantez de doux airs dans le crépuscule
18 Chantez au fond des soirs et de la nuit
19 Au bout du chemin qui la ba ondule
20Dimanche d'Avril.
21N'est-ce pas pour moi l'hebdomadaire délice que me
22 souvenir. Ce séjour là-bas en la santé d'âme ou je me trouvais
23 fut comme la longue
conséquence d'une suite de Dimanches
24 tant les heures se succédèrent nerveuses et dépaysées
118v
l'été, l'été chaud, entrant par les fenêtres ouvertes sur de pauvres verdures maigres sur le bleu du ciel,
l'été poudreux, et l'éternel retour des exercices quotidiens, l'encens fané de la chapelle, et les sorties au crépuscule le
soir..
Les longues classes.. l'odeur de poussière des rideaux écrus, que jaunit le soleil du dehors, la fadeur d'eau grasse des réfectoires, le deux à deux et la queue leu leu des rangs.
Liberté relative, le restaurant, des modes d'Orient au Luxembourg et les premières avidités de la vie.
Ô nulle envie De cette vie
Trop bel encor Pour être mort
De la tenue On est connu !
Chantez de doux airs dans le crépuscule Chantez au fond des soirs et de la nuit Au bout du chemin qui là-bas ondule
Dimanche d'Avril.
N'est-ce pas pour moi l'hebdomadaire délice que me souvenir. Ce séjour là-bas en la santé d'âme ou je me trouvais fut comme la longue conséquence d'une suite de dimanches tant les heures se succédèrent nerveuses et dépaysées.