02Niphon : me donne la vision instantanée de la carte du Japon
03Le dessin est l'écriture de la peinture et la couleur c'est le style
04Claude – évoque un étang triangulaire parmi les joncs, dans une prairie, autour d'une
05 route sous un ciel indfini, où je jouais enfant avec un petit paysan de ce nom
06
07Tanzaï : ce mot dessine à mes yeux un éclair
08Un rêve : un grand jardin comme les Tuileries planté d'arbres très espacés, sur la
09 terre dure une mince et luisante
étendue d'eau, sur laquelle une yole sans nul
10 tirant enlevait, sa voile tendue et battante comme une aile.
11L'évocation mentale d'un livre est presque toujours accompagnée d'une odeur
12 la sentir, et l'idée d'atmosphère dont je ressens l'influence au plus profond de
13 moi-même
14Un soir, mon âme est prise aux pays hyperborées, des blocs de lucide glace
15 emprisonnent en leur cristal de longues plantes verdâtres qui les
sillonnent
16 comme des veines. Dans la blancheur des neiges des mers immobiles et
nacrés
nacrées
17 stagnent
Nippon : me donne la vision instantanée de la carte du Japon.
Le dessin est l'écriture de la peinture, et la couleur, c'est le style.
Claude – évoque un étang triangulaire parmi les joncs, dans une prairie, autour d'une route sous un ciel indéfini, où je jouais enfant avec un petit paysan de ce nom.
Tanzaï : ce mot dessine à mes yeux un éclair.
Un rêve : un grand jardin comme les Tuileries planté d'arbres très espacés, sur la terre dure une mince et luisante étendue d'eau, sur laquelle une yole sans nul tirant enlevait, sa voile tendue et battante comme une aile.
L'évocation mentale d'un livre est presque toujours accompagnée d'une odeur ; la sentir, et l'idée d'atmosphère dont je ressens l'influence au plus profond de moi-même...
Un soir, mon âme est prise aux pays hyperborées, des blocs de lucide glace emprisonnent en leur cristal de longues plantes verdâtres qui les sillonnent comme des veines. Dans la blancheur des neiges des mers immobiles et nacrés nacrées stagnent.
02Niphon : me donne la vision instantanée de la carte du Japon
03Le dessin est l'écriture de la peinture et la couleur c'est le style
04Claude – évoque un étang triangulaire parmi les joncs, dans une prairie, autour d'une
05 route sous un ciel indfini, où je jouais enfant avec un petit paysan de ce nom
06
07Tanzaï : ce mot dessine à mes yeux un éclair
08Un rêve : un grand jardin comme les Tuileries planté d'arbres très espacés, sur la
09 terre dure une mince et luisante
étendue d'eau, sur laquelle une yole sans nul
10 tirant enlevait, sa voile tendue et battante comme une aile.
11L'évocation mentale d'un livre est presque toujours accompagnée d'une odeur
12 la sentir, et l'idée d'atmosphère dont je ressens l'influence au plus profond de
13 moi-même
14Un soir, mon âme est prise aux pays hyperborées, des blocs de lucide glace
15 emprisonnent en leur cristal de longues plantes verdâtres qui les
sillonnent
16 comme des veines. Dans la blancheur des neiges des mers immobiles et
nacrés
nacrées
17 stagnent
Nippon : me donne la vision instantanée de la carte du Japon.
Le dessin est l'écriture de la peinture, et la couleur, c'est le style.
Claude – évoque un étang triangulaire parmi les joncs, dans une prairie, autour d'une route sous un ciel indéfini, où je jouais enfant avec un petit paysan de ce nom.
Tanzaï : ce mot dessine à mes yeux un éclair.
Un rêve : un grand jardin comme les Tuileries planté d'arbres très espacés, sur la terre dure une mince et luisante étendue d'eau, sur laquelle une yole sans nul tirant enlevait, sa voile tendue et battante comme une aile.
L'évocation mentale d'un livre est presque toujours accompagnée d'une odeur ; la sentir, et l'idée d'atmosphère dont je ressens l'influence au plus profond de moi-même...
Un soir, mon âme est prise aux pays hyperborées, des blocs de lucide glace emprisonnent en leur cristal de longues plantes verdâtres qui les sillonnent comme des veines. Dans la blancheur des neiges des mers immobiles et nacrés nacrées stagnent.