02volantes, et qui sur l'étoffe claire
qui vêtaitqu'étiraient ses genoux mes larmes
03tombaient et y laissant d'oblongues taches plus foncées !
04Ces jours passés – là-bas m'ont laissé comme un frisson d'âme
05qui revient parfois, un frisson comme celui qui
fait trembler les mains énervées !
06Il y a peut-être longtemps que je l'aime car je n'ai jamais osé
07la regarder
08Il y a des regards qui sont la joie d'un instant où l'on contemple l'aimé visage
09qui est là, présent,
et d'autres des regards désespérés, des regards qui veulent
10emporter un visage, des regards qui
regardent aujurd'hui ce qui
11ne sera plus demain !
12Il y des femmes qui à la première rencontre ont le charme d'une amie
13autrefois connue et beaucoup
aimée !
14Une femme qui serait de chair gaie, et d'âme enseoleillée, quelque chose
15comme la petite Provence de l'espritl'amour
16L'immonde Mend… une cervelle de couille.
volantes, et qui sur l'étoffe claire qu'étiraient ses genoux mes larmestombaient et y laissant d'oblongues taches plus foncées !
Ces jours passés là-bas m'ont laissé comme un frisson d'âmequi revient parfois, un frisson comme celui qui fait trembler les mains énervées !
Il y a peut-être longtemps que je l'aime car je n'ai jamais oséla regarder.
Il y a des regards qui sont la joie d'un instant où l'on contemple l'aimé visagequi est là, présent, et d'autres des regards désespérés, des regards qui veulentemporter un visage, des regards qui regardent aujurd'hui ce quine sera plus demain !
Il y des femmes qui à la première rencontre ont le charme d'une amieautrefois connue et beaucoup aimée !
Une femme qui serait de chair gaie, et d'âme enseoleillée, quelque chosecomme la petite Provence de l'amour.
L'immonde Mendès une cervelle de couille.
02volantes, et qui sur l'étoffe claire
qui vêtaitqu'étiraient ses genoux mes larmes
03tombaient et y laissant d'oblongues taches plus foncées !
04Ces jours passés – là-bas m'ont laissé comme un frisson d'âme
05qui revient parfois, un frisson comme celui qui
fait trembler les mains énervées !
06Il y a peut-être longtemps que je l'aime car je n'ai jamais osé
07la regarder
08Il y a des regards qui sont la joie d'un instant où l'on contemple l'aimé visage
09qui est là, présent,
et d'autres des regards désespérés, des regards qui veulent
10emporter un visage, des regards qui
regardent aujurd'hui ce qui
11ne sera plus demain !
12Il y des femmes qui à la première rencontre ont le charme d'une amie
13autrefois connue et beaucoup
aimée !
14Une femme qui serait de chair gaie, et d'âme enseoleillée, quelque chose
15comme la petite Provence de l'espritl'amour
16L'immonde Mend… une cervelle de couille.
volantes, et qui sur l'étoffe claire qu'étiraient ses genoux mes larmestombaient et y laissant d'oblongues taches plus foncées !
Ces jours passés là-bas m'ont laissé comme un frisson d'âmequi revient parfois, un frisson comme celui qui fait trembler les mains énervées !
Il y a peut-être longtemps que je l'aime car je n'ai jamais oséla regarder.
Il y a des regards qui sont la joie d'un instant où l'on contemple l'aimé visagequi est là, présent, et d'autres des regards désespérés, des regards qui veulentemporter un visage, des regards qui regardent aujurd'hui ce quine sera plus demain !
Il y des femmes qui à la première rencontre ont le charme d'une amieautrefois connue et beaucoup aimée !
Une femme qui serait de chair gaie, et d'âme enseoleillée, quelque chosecomme la petite Provence de l'amour.
L'immonde Mendès une cervelle de couille.