02Et le poète demande Pitié pour ses élans vers de pénitentes joies qui ne doivent
03pas être les siennes, pour les
défaillances de ses pensées vautrées trop
04souvent aux fanges du monde et loin de son lit, pour ses désirs de la
05chair avilissante, pour toutes ses
fautes renaissantes et ses soifs invaincues
06donnez lui à ce
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? la force et le courage,
07éloignez de lui
les volages suborneurs lorsque passent le tourbillon des
08 choses ou rient les grimaces des comédies humaines, donnez lui le pur
09Intellectualisme, et faites lui la grâce de ne pas courber sa nuque
10sous le pied de la femme triomphante, et quand bien même ses efforts
11seraient
vains et ses attitudes épéhmères qu'il soit récompensé d'avoir
12douté d'être ce qu'il n'a pas su être le spectateur
saignant
13des luttes, des défilés et des cavalcades !
14La grande tristesse des soirs purifie la honte des journées, comme le mal
15les hideurs souillantes de
la maladie
16Celui qui dit : je n'aimerai plus aime déjà de nouveau
17Le désir de la gloire est une variété de l'orgueil.
18Chez certains l'orgueil n'est que la connaissance de soi-même
Et le poète demande pitié pour ses élans vers de pénitentes joies qui ne doiventpas être les siennes, pour les défaillances de ses pensées vautrées tropsouvent aux fanges du monde et loin de son lit, pour ses désirs de lachair avilissante, pour toutes ses fautes renaissantes et ses soifs invaincues, donnez-lui à ce ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? la force et le courage,éloignez de lui les volages suborneurs lorsque passe le tourbillon des choses ou rient les grimaces des comédies humaines, donnez-lui le purIntellectualisme, et faites lui la grâce de ne pas courber sa nuquesous le pied de la femme triomphante, et quand bien même ses effortsseraient vains et ses attitudes épéhmères, qu'il soit récompensé d'avoirdouté d'être ce qu'il n'a pas su être le spectateur saignantdes luttes, des défilés et des cavalcades !
La grande tristesse des soirs purifie la honte des journées, comme le malles hideurs souillantes de la maladie.
Celui qui dit "je n'aimerai plus" aime déjà de nouveau.
Le désir de la gloire est une variété de l'orgueil.
Chez certains l'orgueil n'est que la connaissance de soi-même.
02Et le poète demande Pitié pour ses élans vers de pénitentes joies qui ne doivent
03pas être les siennes, pour les
défaillances de ses pensées vautrées trop
04souvent aux fanges du monde et loin de son lit, pour ses désirs de la
05chair avilissante, pour toutes ses
fautes renaissantes et ses soifs invaincues
06donnez lui à ce
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? la force et le courage,
07éloignez de lui
les volages suborneurs lorsque passent le tourbillon des
08 choses ou rient les grimaces des comédies humaines, donnez lui le pur
09Intellectualisme, et faites lui la grâce de ne pas courber sa nuque
10sous le pied de la femme triomphante, et quand bien même ses efforts
11seraient
vains et ses attitudes épéhmères qu'il soit récompensé d'avoir
12douté d'être ce qu'il n'a pas su être le spectateur
saignant
13des luttes, des défilés et des cavalcades !
14La grande tristesse des soirs purifie la honte des journées, comme le mal
15les hideurs souillantes de
la maladie
16Celui qui dit : je n'aimerai plus aime déjà de nouveau
17Le désir de la gloire est une variété de l'orgueil.
18Chez certains l'orgueil n'est que la connaissance de soi-même
Et le poète demande pitié pour ses élans vers de pénitentes joies qui ne doiventpas être les siennes, pour les défaillances de ses pensées vautrées tropsouvent aux fanges du monde et loin de son lit, pour ses désirs de lachair avilissante, pour toutes ses fautes renaissantes et ses soifs invaincues, donnez-lui à ce ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? la force et le courage,éloignez de lui les volages suborneurs lorsque passe le tourbillon des choses ou rient les grimaces des comédies humaines, donnez-lui le purIntellectualisme, et faites lui la grâce de ne pas courber sa nuquesous le pied de la femme triomphante, et quand bien même ses effortsseraient vains et ses attitudes épéhmères, qu'il soit récompensé d'avoirdouté d'être ce qu'il n'a pas su être le spectateur saignantdes luttes, des défilés et des cavalcades !
La grande tristesse des soirs purifie la honte des journées, comme le malles hideurs souillantes de la maladie.
Celui qui dit "je n'aimerai plus" aime déjà de nouveau.
Le désir de la gloire est une variété de l'orgueil.
Chez certains l'orgueil n'est que la connaissance de soi-même.