02Il y a des heures où l'esprit est mort de fatigue, mais
03ce sont des morts de Dieux – et la résurrection n'est pas
04loin.
05au
musée de Tours un tableau du XVIIIe siècle allemand où grimace
06la joie de Watteaui, par
l'intrusion d'un fond de sorcellerie
07Il y a aussi un Singe empaillé, et l'élégant quadrumane
08 dirait Bonhomet134 – écoute en une coquille une voix de flot
09On a mis de l'Esprit dans l'empaillage !
10Le théâtre en liberté de Hugo135 : un vieillard en f enfance
11qui montre son cul.
12La Fenêtre ouverte, parfois à un souffle le vacillement de la bougie,
13et là-bas, dans la nuit, près du fleuve, par delà la cime des arbres, chantent
14des femmes, des rondes enfantines, dont la puérile joie met comme un
15rire au timbre
chatouillé des voix.
Il y a des heures où l'esprit est mort de fatigue, mais ce sont des morts de Dieux – et la résurrection n'est pas loin.
Au musée de Tours, un tableau du XVIIIe siècle allemand où grimace la joie de Watteaui, par l'intrusion d'un fond de sorcellerie.
Il y a aussi un Singe empaillé, et l'élégant quadrumane – dirait Bonhomet134 – écoute en une coquille une voix de flot. On a mis de l'Esprit dans l'empaillage !
Le Théâtre en liberté de Hugo135 : un vieillard en enfance qui montre son cul.
La Fenêtre ouverte ; parfois, à un souffle, le vacillement de la bougie, et là-bas, dans la nuit, près du fleuve, par delà la cime des arbres, chantent des femmes ; des rondes enfantines, dont la puérile joie met comme un rire au timbre chatouillé des voix.
02Il y a des heures où l'esprit est mort de fatigue, mais
03ce sont des morts de Dieux – et la résurrection n'est pas
04loin.
05au
musée de Tours un tableau du XVIIIe siècle allemand où grimace
06la joie de Watteaui, par
l'intrusion d'un fond de sorcellerie
07Il y a aussi un Singe empaillé, et l'élégant quadrumane
08 dirait Bonhomet134 – écoute en une coquille une voix de flot
09On a mis de l'Esprit dans l'empaillage !
10Le théâtre en liberté de Hugo135 : un vieillard en f enfance
11qui montre son cul.
12La Fenêtre ouverte, parfois à un souffle le vacillement de la bougie,
13et là-bas, dans la nuit, près du fleuve, par delà la cime des arbres, chantent
14des femmes, des rondes enfantines, dont la puérile joie met comme un
15rire au timbre
chatouillé des voix.
Il y a des heures où l'esprit est mort de fatigue, mais ce sont des morts de Dieux – et la résurrection n'est pas loin.
Au musée de Tours, un tableau du XVIIIe siècle allemand où grimace la joie de Watteaui, par l'intrusion d'un fond de sorcellerie.
Il y a aussi un Singe empaillé, et l'élégant quadrumane – dirait Bonhomet134 – écoute en une coquille une voix de flot. On a mis de l'Esprit dans l'empaillage !
Le Théâtre en liberté de Hugo135 : un vieillard en enfance qui montre son cul.
La Fenêtre ouverte ; parfois, à un souffle, le vacillement de la bougie, et là-bas, dans la nuit, près du fleuve, par delà la cime des arbres, chantent des femmes ; des rondes enfantines, dont la puérile joie met comme un rire au timbre chatouillé des voix.