02Entre deux collines le soleil décline passe encore, et caresse de longues et
03douces clartés le arbres, les pré,
04le
coteaux d'en face sont en pleine lumière
qui jaunit leu prairie qui
05mont
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , dresse sur la pier, où les irrégularité de la
06lisière assez
enfonc des retra d'ombre bleuâtre
07Lundi 27 Juin
08Au sortir la can de Paris, la campagne lui produisit un effet
09d'accalmie, de repos, une
sorte de mer morte d'âme, et dans le
10double silence de son coeur et des choses, le murmure des brises, sur
11les seigles, et dans les
branches, passait aussi réellement en son âme.
12De cette quitude de corps et de tête, sortit une période où dans son
13esprit assoupli et comme huilé, le jeu de la pensée se fit actif et
14aisé. Il rêva de poèmes et en accomplit quelques uns, avec
15satisfaction, sans cette crispation énervée qui accompagnait
16son travail des soirs de ville. lL'avenir même s'élargissait
17d'espoir, et il constatait avec joie ce mieux....
18Pourtant çà et là, passaient en lui de brèves récurrences d'ennuis
19antérieurs, et de vagues méfiances du futur.....
20Tout à coup, presque sans raison, surgit une crue inconnue
21jusqu'à présent, une folle terreur de la mort...
Entre deux collines, le soleil décline, passe encore, et caresse de longues et douces clartés les arbres, les prés.
Les coteaux d'en face sont en pleine lumière qui jaunit leur prairie qui monte ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , dresse sur la pierre, où les irrégularités de la lisière assez enfoncées, des retraits d'ombre bleuâtre.
Lundi 27 Juin
Au sortir de Paris, la campagne lui produisit un effet d'accalmie, de repos, une sorte de mer morte d'âme, et dans le double silence de son coeur et des choses, le murmure des brises, sur les seigles, et dans les branches, passait aussi réellement en son âme.
De cette quiétude de corps et de tête, sortit une période où, dans son esprit assoupli et comme huilé, le jeu de la pensée se fit actif et aisé. Il rêva de poèmes et en accomplit quelques-uns, avec satisfaction, sans cette crispation énervée qui accompagnait son travail des soirs de ville. L'avenir même s'élargissait d'espoir, et il constatait avec joie ce mieux....
Pourtant, çà et là, passaient en lui de brèves récurrences d'ennuis antérieurs, et de vagues méfiances du futur.....
Tout à coup, presque sans raison, surgit une crue inconnue jusqu'à présent, une folle terreur de la mort...
02Entre deux collines le soleil décline passe encore, et caresse de longues et
03douces clartés le arbres, les pré,
04le
coteaux d'en face sont en pleine lumière
qui jaunit leu prairie qui
05mont
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , dresse sur la pier, où les irrégularité de la
06lisière assez
enfonc des retra d'ombre bleuâtre
07Lundi 27 Juin
08Au sortir la can de Paris, la campagne lui produisit un effet
09d'accalmie, de repos, une
sorte de mer morte d'âme, et dans le
10double silence de son coeur et des choses, le murmure des brises, sur
11les seigles, et dans les
branches, passait aussi réellement en son âme.
12De cette quitude de corps et de tête, sortit une période où dans son
13esprit assoupli et comme huilé, le jeu de la pensée se fit actif et
14aisé. Il rêva de poèmes et en accomplit quelques uns, avec
15satisfaction, sans cette crispation énervée qui accompagnait
16son travail des soirs de ville. lL'avenir même s'élargissait
17d'espoir, et il constatait avec joie ce mieux....
18Pourtant çà et là, passaient en lui de brèves récurrences d'ennuis
19antérieurs, et de vagues méfiances du futur.....
20Tout à coup, presque sans raison, surgit une crue inconnue
21jusqu'à présent, une folle terreur de la mort...
Entre deux collines, le soleil décline, passe encore, et caresse de longues et douces clartés les arbres, les prés.
Les coteaux d'en face sont en pleine lumière qui jaunit leur prairie qui monte ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , dresse sur la pierre, où les irrégularités de la lisière assez enfoncées, des retraits d'ombre bleuâtre.
Lundi 27 Juin
Au sortir de Paris, la campagne lui produisit un effet d'accalmie, de repos, une sorte de mer morte d'âme, et dans le double silence de son coeur et des choses, le murmure des brises, sur les seigles, et dans les branches, passait aussi réellement en son âme.
De cette quiétude de corps et de tête, sortit une période où, dans son esprit assoupli et comme huilé, le jeu de la pensée se fit actif et aisé. Il rêva de poèmes et en accomplit quelques-uns, avec satisfaction, sans cette crispation énervée qui accompagnait son travail des soirs de ville. L'avenir même s'élargissait d'espoir, et il constatait avec joie ce mieux....
Pourtant, çà et là, passaient en lui de brèves récurrences d'ennuis antérieurs, et de vagues méfiances du futur.....
Tout à coup, presque sans raison, surgit une crue inconnue jusqu'à présent, une folle terreur de la mort...