02Samedi soir.
03J'entrai et, mon choix tombe sur celle qui au hasard du canapé circulaire
04est là la première et la plus près de la porte.
05Elle était petite et malgré ka conviction d'une fausse chevelure, de teinture
06aux lèvres elle était passable après tout avec ses seins presque durs, son mince et
07fourni triangle, et les bas, trouvaille merveilleuse, qui sert à accaparer
08l'oeil et à lui faire accepter la crudité des maquillages dont l'éclat
09s'atténue à ce voisinage.
10l'entretien fut d'une courtoisie parfaite, coupé de comment dire de
11 si tu veux, ça m'est égal , et après la traditionnelle mise à l'aise, je
12m'efforçai, dans les entractes de l'ébat de maintenir ce ton à
13l'ancienne cour, cadrant bien je le sentais avec le décor faux
14pompadour et capitons de l'ameublement.
15L'instant dominant, ayant été comme toujours insuffisant et
16inférieur, et ne m'ayant dans son éclair sillonné l'horizon
17d'aucune perspective – je rêvais et m'inquiétais.
18Au départ, de la salle d'attente, la place libre et près de la porte
19vivement convoitée, je présumais, fut l'objet
d'un débat.
20Quel était donc l'avantage de cette situation d'avant-garde
21donnait-elle possibilité de forcer la main. Tel fut le but de
22mes réflexions et après les errements
????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , cette situation
23s'imposa.
24Ces femmes grâce à des procédés de toilette et de maquillage
Samedi soir.
J'entrai et mon choix tombe sur celle qui, au hasard du canapé circulaire, est là la première et la plus près de la porte.
Elle était petite et malgré ka conviction d'une fausse chevelure, de teinture aux lèvres, elle était passable après tout avec ses seins presque durs, son mince et fourni triangle, et les bas, trouvaille merveilleuse qui sert à accaparer l'oeil et à lui faire accepter la crudité des maquillages dont l'éclat s'atténue à ce voisinage.
l'entretien fut d'une courtoisie parfaite, coupé de "comment dire" de "si tu veux, ça m'est égal", et après la traditionnelle mise à l'aise, je m'efforçai, dans les entractes de l'ébat, de maintenir ce ton à l'ancienne cour, cadrant bien, je le sentais, avec le décor faux pompadour et capitons de l'ameublement.
L'instant dominant, ayant été comme toujours insuffisant et inférieur, et ne m'ayant, dans son éclair, sillonné l'horizon d'aucune perspective – je rêvais et m'inquiétais.
Au départ, de la salle d'attente, la place libre et près de la porte vivement convoitée, je présumais, fut l'objet d'un débat.
Quel était donc l'avantage de cette situation d'avant-garde ? Donnait-elle possibilité de forcer la main ? Tel fut le but de mes réflexions et après les errements ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , cette situation s'imposa.
Ces femmes, grâce à des procédés de toilette et de maquillage,
02Samedi soir.
03J'entrai et, mon choix tombe sur celle qui au hasard du canapé circulaire
04est là la première et la plus près de la porte.
05Elle était petite et malgré ka conviction d'une fausse chevelure, de teinture
06aux lèvres elle était passable après tout avec ses seins presque durs, son mince et
07fourni triangle, et les bas, trouvaille merveilleuse, qui sert à accaparer
08l'oeil et à lui faire accepter la crudité des maquillages dont l'éclat
09s'atténue à ce voisinage.
10l'entretien fut d'une courtoisie parfaite, coupé de comment dire de
11 si tu veux, ça m'est égal , et après la traditionnelle mise à l'aise, je
12m'efforçai, dans les entractes de l'ébat de maintenir ce ton à
13l'ancienne cour, cadrant bien je le sentais avec le décor faux
14pompadour et capitons de l'ameublement.
15L'instant dominant, ayant été comme toujours insuffisant et
16inférieur, et ne m'ayant dans son éclair sillonné l'horizon
17d'aucune perspective – je rêvais et m'inquiétais.
18Au départ, de la salle d'attente, la place libre et près de la porte
19vivement convoitée, je présumais, fut l'objet
d'un débat.
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21donnait-elle possibilité de forcer la main. Tel fut le but de
22mes réflexions et après les errements
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24Ces femmes grâce à des procédés de toilette et de maquillage
Samedi soir.
J'entrai et mon choix tombe sur celle qui, au hasard du canapé circulaire, est là la première et la plus près de la porte.
Elle était petite et malgré ka conviction d'une fausse chevelure, de teinture aux lèvres, elle était passable après tout avec ses seins presque durs, son mince et fourni triangle, et les bas, trouvaille merveilleuse qui sert à accaparer l'oeil et à lui faire accepter la crudité des maquillages dont l'éclat s'atténue à ce voisinage.
l'entretien fut d'une courtoisie parfaite, coupé de "comment dire" de "si tu veux, ça m'est égal", et après la traditionnelle mise à l'aise, je m'efforçai, dans les entractes de l'ébat, de maintenir ce ton à l'ancienne cour, cadrant bien, je le sentais, avec le décor faux pompadour et capitons de l'ameublement.
L'instant dominant, ayant été comme toujours insuffisant et inférieur, et ne m'ayant, dans son éclair, sillonné l'horizon d'aucune perspective – je rêvais et m'inquiétais.
Au départ, de la salle d'attente, la place libre et près de la porte vivement convoitée, je présumais, fut l'objet d'un débat.
Quel était donc l'avantage de cette situation d'avant-garde ? Donnait-elle possibilité de forcer la main ? Tel fut le but de mes réflexions et après les errements ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? , cette situation s'imposa.
Ces femmes, grâce à des procédés de toilette et de maquillage,
Édition numérique des Cahiers d’Henri de Régnier
