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les frissons du vent dans les branches, et parfois, aux portes des
03grilles d'où
l'on voit les jardins, le carillonnement d'une sonnette,
04ou la crépitation d'un timbre électrique... qui tinte aux doigts
05posés.....
06C'est un aspect spécial, qui tient de la ville et de la campagne, c'est
07provincial comme un mail de sous préfecture jadis parlementaire. De la terrasse, sous un ciel gris, plus clair sur ma tête, qui se fonce en
08s'abaissant sur l'horizon, la
vallée de Meudon74, des maisons
éparses au
09bas, aux collines de droite des cimes de bois d'où émerge le carré de
10caserne de l'hospice gGaliera75, et dans le bleuissement gris du
11lointain la Seine, géographique, teintée en métal court presque
12droite à peine tortueuse et se perd dans la brume de Paris, qui
13est là-bas...
14à l'angle de deux allées, dans un mur blanc, une fenètre rez de chaussée
15aux persiennes closes –
16plus loin, en plein bois, une longue allée, pavée, coupée de routes,
17j'en suis une qui me mène à un carrefour, tapissé de mousse
18jaune,dominant un bas-fond, qui fait qu'on se trouve de nouveau
19avec
les cimes des arbres d'en face...
20et toujours tantôt, proche tantôt loin, pardel le arbres ondés de brise
21le cri, syllabique du coucou, se répète, sans cesse, avec une
22immense tristesse
40
les frissons du vent dans les branches, et parfois, aux portes des grilles d'où
l'on voit les jardins, le carillonnement d'une sonnette, ou la crépitation d'un timbre électrique... qui tinte aux doigts posés...
C'est un aspect spécial, qui tient de la ville et de la campagne, c'est provincial comme un mail de sous-préfecture jadis parlementaire. De la terrasse, sous un ciel gris, plus clair sur ma tête, qui se fonce en s'abaissant sur l'horizon, la vallée de Meudon74, des maisons éparses au bas ; aux collines de droite, des cimes de bois d'où émerge le carré de caserne de l'hospice Galliera75, et dans le bleuissement gris du lointain, la Seine, géographique, teintée en métal, court presque droite, à peine tortueuse, et se perd dans la brume de Paris, qui est là-bas...
À l'angle de deux allées, dans un mur blanc, une fenètre rez-de-chaussée aux persiennes closes.
Plus loin, en plein bois, une longue allée, pavée, coupée de routes ; j'en suis une qui me mène à un carrefour, tapissé de mousse jaune,dominant un bas-fond, qui fait qu'on se trouve de nouveau avec les cimes des arbres d'en face...
Et toujours, tantôt proche, tantôt loin, par delà les arbres ondés de brise, le cri syllabique du coucou se répète, sans cesse, avec une immense tristesse.
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les frissons du vent dans les branches, et parfois, aux portes des
03grilles d'où
l'on voit les jardins, le carillonnement d'une sonnette,
04ou la crépitation d'un timbre électrique... qui tinte aux doigts
05posés.....
06C'est un aspect spécial, qui tient de la ville et de la campagne, c'est
07provincial comme un mail de sous préfecture jadis parlementaire. De la terrasse, sous un ciel gris, plus clair sur ma tête, qui se fonce en
08s'abaissant sur l'horizon, la
vallée de Meudon74, des maisons
éparses au
09bas, aux collines de droite des cimes de bois d'où émerge le carré de
10caserne de l'hospice gGaliera75, et dans le bleuissement gris du
11lointain la Seine, géographique, teintée en métal court presque
12droite à peine tortueuse et se perd dans la brume de Paris, qui
13est là-bas...
14à l'angle de deux allées, dans un mur blanc, une fenètre rez de chaussée
15aux persiennes closes –
16plus loin, en plein bois, une longue allée, pavée, coupée de routes,
17j'en suis une qui me mène à un carrefour, tapissé de mousse
18jaune,dominant un bas-fond, qui fait qu'on se trouve de nouveau
19avec
les cimes des arbres d'en face...
20et toujours tantôt, proche tantôt loin, pardel le arbres ondés de brise
21le cri, syllabique du coucou, se répète, sans cesse, avec une
22immense tristesse
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les frissons du vent dans les branches, et parfois, aux portes des grilles d'où
l'on voit les jardins, le carillonnement d'une sonnette, ou la crépitation d'un timbre électrique... qui tinte aux doigts posés...
C'est un aspect spécial, qui tient de la ville et de la campagne, c'est provincial comme un mail de sous-préfecture jadis parlementaire. De la terrasse, sous un ciel gris, plus clair sur ma tête, qui se fonce en s'abaissant sur l'horizon, la vallée de Meudon74, des maisons éparses au bas ; aux collines de droite, des cimes de bois d'où émerge le carré de caserne de l'hospice Galliera75, et dans le bleuissement gris du lointain, la Seine, géographique, teintée en métal, court presque droite, à peine tortueuse, et se perd dans la brume de Paris, qui est là-bas...
À l'angle de deux allées, dans un mur blanc, une fenètre rez-de-chaussée aux persiennes closes.
Plus loin, en plein bois, une longue allée, pavée, coupée de routes ; j'en suis une qui me mène à un carrefour, tapissé de mousse jaune,dominant un bas-fond, qui fait qu'on se trouve de nouveau avec les cimes des arbres d'en face...
Et toujours, tantôt proche, tantôt loin, par delà les arbres ondés de brise, le cri syllabique du coucou se répète, sans cesse, avec une immense tristesse.