02 Lu, le Mont-Oriol74 de Maupassant – un roman médiocre qui se passe dans
03un pays de Montagnes en Auvergne et raconte la fondation d’une station
04thermale et la vie qui s’y mène – il y a là dedans du G descriptif à
05la Georges Sand, nulle psychologie, des types connus, le vieux gentilhomme
06égoïste, le fils viveur sceptique, élégant et assez
ignoble en somme,
07la jeune femme dont les sens sommeillent après le mariage et qu’éveille
08un amant vigoureux. – Tout le long du roman on boit de l’eau
09et on ferme le livre avec la sensation bizarre d’avoir absorbé
10une quantité de liquide inusité75.
11
De salle, il apercevait, grande ouverte la porte d’un office, au mur un
12grand lambeau de papier décollé flottait au courant d’air qui apportait
13un parfum de
viande, de marinade, mêlés à des senteurs de fruits, et aux
14 aigreurs de vinaig
traversé de l’odeur sucrée des confitures.
15Quelques mouches volaient çà et là, et, parfois du jardin, entrait une
16abeille, ronflante qui tournoyait se heurtait, et s’en allait par la fenêtre
17
toute visible point d’or sur le bleu du ciel76
18
Des souvenirs de garnison – à Biarritz du temps de l’emper, où en officier
19il dansait dans les bals, possédait un grand nombre de gants et
20parfois le long d’une route qui suiv la mer, il accompagnait au grand
21trot dans la poussière blanche du soir, un grand landau, et s'accord
22
?????????????????????????????????????????????????????????????????????????
l'empereur, sur une ombrelle à dentell, et lorsque le vent soulevait
23la frange, il voyait le grand papillon de
derrière son cou, qui frisait au réveil
24des cheveux blonds et souples
Lu le Mont-Oriol74 de Maupassant, un roman médiocre qui se passe dans un pays de montagnes en Auvergne et raconte la fondation d’une station thermale et la vie qui s’y mène : il y a là dedans du descriptif à la George Sand, nulle psychologie, des types connus, le vieux gentilhomme égoïste, le fils viveur sceptique, élégant et assez ignoble en somme, la jeune femme dont les sens sommeillent après le mariage et qu’éveille un amant vigoureux. Tout le long du roman on boit de l’eau et on ferme le livre avec la sensation bizarre d’avoir absorbé une quantité de liquide inusitée75.
De la salle, il apercevait, grande ouverte, la porte d’un office, au mur un grand lambeau de papier décollé flottait au courant d’air qui apportait un parfum de viande, de marinade, mêlé à des senteurs de fruits, et aux aigreurs de vinaigre traversées de l’odeur sucrée des confitures. Quelques mouches volaient çà et là, et, parfois, du jardin, entrait une abeille ronflante qui tournoyait, se heurtait, et s’en allait par la fenêtre, visible point d’or sur le bleu du ciel76.
Des souvenirs de garnison : à Biarritz, du temps de l’Empereur, où en officier il dansait dans les bals, possédait un grand nombre de gants et parfois, le long d’une route qui suivait la mer, il accompagnait au grand trot, dans la poussière blanche du soir, un grand landau, et s'accordait ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? l'empereur, sur une ombrelle à dentelles, et lorsque le vent soulevait la frange, il voyait le grand papillon de derrière son cou, qui frisait au réveil des cheveux blonds et souples.
02 Lu, le Mont-Oriol74 de Maupassant – un roman médiocre qui se passe dans
03un pays de Montagnes en Auvergne et raconte la fondation d’une station
04thermale et la vie qui s’y mène – il y a là dedans du G descriptif à
05la Georges Sand, nulle psychologie, des types connus, le vieux gentilhomme
06égoïste, le fils viveur sceptique, élégant et assez
ignoble en somme,
07la jeune femme dont les sens sommeillent après le mariage et qu’éveille
08un amant vigoureux. – Tout le long du roman on boit de l’eau
09et on ferme le livre avec la sensation bizarre d’avoir absorbé
10une quantité de liquide inusité75.
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De salle, il apercevait, grande ouverte la porte d’un office, au mur un
12grand lambeau de papier décollé flottait au courant d’air qui apportait
13un parfum de
viande, de marinade, mêlés à des senteurs de fruits, et aux
14 aigreurs de vinaig
traversé de l’odeur sucrée des confitures.
15Quelques mouches volaient çà et là, et, parfois du jardin, entrait une
16abeille, ronflante qui tournoyait se heurtait, et s’en allait par la fenêtre
17
toute visible point d’or sur le bleu du ciel76
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Des souvenirs de garnison – à Biarritz du temps de l’emper, où en officier
19il dansait dans les bals, possédait un grand nombre de gants et
20parfois le long d’une route qui suiv la mer, il accompagnait au grand
21trot dans la poussière blanche du soir, un grand landau, et s'accord
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l'empereur, sur une ombrelle à dentell, et lorsque le vent soulevait
23la frange, il voyait le grand papillon de
derrière son cou, qui frisait au réveil
24des cheveux blonds et souples
Lu le Mont-Oriol74 de Maupassant, un roman médiocre qui se passe dans un pays de montagnes en Auvergne et raconte la fondation d’une station thermale et la vie qui s’y mène : il y a là dedans du descriptif à la George Sand, nulle psychologie, des types connus, le vieux gentilhomme égoïste, le fils viveur sceptique, élégant et assez ignoble en somme, la jeune femme dont les sens sommeillent après le mariage et qu’éveille un amant vigoureux. Tout le long du roman on boit de l’eau et on ferme le livre avec la sensation bizarre d’avoir absorbé une quantité de liquide inusitée75.
De la salle, il apercevait, grande ouverte, la porte d’un office, au mur un grand lambeau de papier décollé flottait au courant d’air qui apportait un parfum de viande, de marinade, mêlé à des senteurs de fruits, et aux aigreurs de vinaigre traversées de l’odeur sucrée des confitures. Quelques mouches volaient çà et là, et, parfois, du jardin, entrait une abeille ronflante qui tournoyait, se heurtait, et s’en allait par la fenêtre, visible point d’or sur le bleu du ciel76.
Des souvenirs de garnison : à Biarritz, du temps de l’Empereur, où en officier il dansait dans les bals, possédait un grand nombre de gants et parfois, le long d’une route qui suivait la mer, il accompagnait au grand trot, dans la poussière blanche du soir, un grand landau, et s'accordait ????????????????????????????????????????????????????????????????????????? l'empereur, sur une ombrelle à dentelles, et lorsque le vent soulevait la frange, il voyait le grand papillon de derrière son cou, qui frisait au réveil des cheveux blonds et souples.