02Mardi 12 Jui. Après la séance chez Blanche – un après-midi de
03 causerie agréable – nous allons avec
Lobre voir les Monet de Van Goghe.
04 Des toiles d'une éblouissante naïveté. La sensation restitue en son intégrité
05 sans intermédiaire. la vision d'un œil alacre et d'une sensibilité inouïe
06 et avec cela de la grandeur.. quelques toiles.
07Une mer méditerranéen, verte. un peu d'écume éparse, et blanchissant un rocher
08 émergé dont la base transparaît en l'eau limpide. et la mer emplit le
09 tableau de sa vie inouïe et s'épand jusqu'à des côtes de montagnes neigeuses
10 glacées, et comme illusions
dans le jour égal du ciel
11Un antibes avec sa ville marine, et des montagnes, et un ciel bleu où se gonfle
12 en ouate une seule nuée blanche. ...
13Des golfes s'incurve en douceur, lointaine et le feuillage d'un arbre empli le ciel.
14De hauts troncs nus se feuillent en cimes solides, et lumineuses, et à travers
15 les tiges l'air circule et là bas la mer bleue et lapillaire1
16Une mer de marbre bleu turquin enserre une côte de rocher roux aux reflets d'ardoise de fonte, où scintillent des pierreries de soleil
17Un terrain roux d'où jaillit un arbre incliné, qui s'épanouit en feuillage en
18 plein ciel.. domine une mer bleue à la fois mouvante et immobile
19 où des voiles voguent vers une côte montagneuse
Mardi 12 juin. Après la séance chez Blanche – un après-midi de causerie agréable – nous allons avec Lobre voir les Monet de Van Gogh. Des toiles d'une éblouissante naïveté. La sensation restitue en son intégrité, sans intermédiaire, la vision d'un œil alacre et d'une sensibilité inouïe et avec cela de la grandeur.. Quelques toiles :
Une mer méditerranéenne, verte ; un peu d'écume éparse, et blanchissant un rocher émergé dont la base transparaît en l'eau limpide. Et la mer emplit le tableau de sa vie inouïe et s'épand jusqu'à des côtes de montagnes neigeuses glacées, et comme illusions dans le jour égal du ciel.
Un Antibes avec sa ville marine, et des montagnes, et un ciel bleu où se gonfle en ouate une seule nuée blanche. ...
Des golfes s'incurvent en douceur, lointaine, et le feuillage d'un arbre emplit le ciel.
De hauts troncs nus se feuillent en cimes solides et lumineuses, et à travers les tiges, l'air circule, et là-bas, la mer bleue et lapillaire1.
Une mer de marbre bleu turquin enserre une côte de rochers roux aux reflets d'ardoise, de fonte, où scintillent des pierreries de soleil.
Un terrain roux d'où jaillit un arbre incliné, qui s'épanouit en feuillage en plein ciel, domine une mer bleue à la fois mouvante et immobile, où des voiles voguent vers une côte montagneuse.
02Mardi 12 Jui. Après la séance chez Blanche – un après-midi de
03 causerie agréable – nous allons avec
Lobre voir les Monet de Van Goghe.
04 Des toiles d'une éblouissante naïveté. La sensation restitue en son intégrité
05 sans intermédiaire. la vision d'un œil alacre et d'une sensibilité inouïe
06 et avec cela de la grandeur.. quelques toiles.
07Une mer méditerranéen, verte. un peu d'écume éparse, et blanchissant un rocher
08 émergé dont la base transparaît en l'eau limpide. et la mer emplit le
09 tableau de sa vie inouïe et s'épand jusqu'à des côtes de montagnes neigeuses
10 glacées, et comme illusions
dans le jour égal du ciel
11Un antibes avec sa ville marine, et des montagnes, et un ciel bleu où se gonfle
12 en ouate une seule nuée blanche. ...
13Des golfes s'incurve en douceur, lointaine et le feuillage d'un arbre empli le ciel.
14De hauts troncs nus se feuillent en cimes solides, et lumineuses, et à travers
15 les tiges l'air circule et là bas la mer bleue et lapillaire1
16Une mer de marbre bleu turquin enserre une côte de rocher roux aux reflets d'ardoise de fonte, où scintillent des pierreries de soleil
17Un terrain roux d'où jaillit un arbre incliné, qui s'épanouit en feuillage en
18 plein ciel.. domine une mer bleue à la fois mouvante et immobile
19 où des voiles voguent vers une côte montagneuse
Mardi 12 juin. Après la séance chez Blanche – un après-midi de causerie agréable – nous allons avec Lobre voir les Monet de Van Gogh. Des toiles d'une éblouissante naïveté. La sensation restitue en son intégrité, sans intermédiaire, la vision d'un œil alacre et d'une sensibilité inouïe et avec cela de la grandeur.. Quelques toiles :
Une mer méditerranéenne, verte ; un peu d'écume éparse, et blanchissant un rocher émergé dont la base transparaît en l'eau limpide. Et la mer emplit le tableau de sa vie inouïe et s'épand jusqu'à des côtes de montagnes neigeuses glacées, et comme illusions dans le jour égal du ciel.
Un Antibes avec sa ville marine, et des montagnes, et un ciel bleu où se gonfle en ouate une seule nuée blanche. ...
Des golfes s'incurvent en douceur, lointaine, et le feuillage d'un arbre emplit le ciel.
De hauts troncs nus se feuillent en cimes solides et lumineuses, et à travers les tiges, l'air circule, et là-bas, la mer bleue et lapillaire1.
Une mer de marbre bleu turquin enserre une côte de rochers roux aux reflets d'ardoise, de fonte, où scintillent des pierreries de soleil.
Un terrain roux d'où jaillit un arbre incliné, qui s'épanouit en feuillage en plein ciel, domine une mer bleue à la fois mouvante et immobile, où des voiles voguent vers une côte montagneuse.