01
0299v
Benjamin Constant.. Staël
et..
03À cette époque le style n'existait pas, et il a fallu l'exotisme
04 les spectacles inconnus pour éveiller en Chateaubriand et
05
Bernardin de St Pierre les premiers ferments de style
06Dans la tragédie de Racine, je vois comme le squelette psychologique
07 d'un drame
possible, c'est toujours un plan..
08Samedi 7 Janv. Dîner de la Revue Moderne. À table, je me trouve près
09 de
Raffaëlli, un beau profil avec un aimable sourire, de l'ironie un
10 peu voulue
mais qui a son charme, et une moustache hérissée et blonde
11 Il y a Vidal, l'Étonnant Lapauze, des
Méridionaux, Griffin, Varvares
12
Darzens.. quelques mots amusants çà et là,
13
Raffaëlli raconte qu'à Naples, il a baisé une putain en
religieuse
14 et en prières, car comme toujours au dessert on cause bordel
15Raffae avoue qu'il n'a plus qu'une ambition celle de parler l'
16anglais....
17Lundi Un décor pour commencer une nouvelle Le café des Tuileries.
99v
Benjamin Constant.. Staël
etc.
À cette époque le style n'existait pas, et il a fallu l'exotisme, les spectacles inconnus pour éveiller en Chateaubriand et Bernardin de Saint-Pierre les premiers ferments de style.
Dans la tragédie de Racine, je vois comme le squelette psychologique d'un drame possible, c'est toujours un plan..
Samedi 7 janvier. Dîner de la Revue Moderne. À table, je me trouve près de Raffaëlli, un beau profil avec un aimable sourire, de l'ironie un peu voulue mais qui a son charme, et une moustache hérissée et blonde. Il y a Vidal, l'Étonnant Lapauze, des Méridionaux, Griffin, Varvares, Darzens.. quelques mots amusants çà et là, Raffaëlli raconte qu'à Naples, il a baisé une putain en religieuse et en prières, car comme toujours au dessert on cause bordel.Raffaëlli avoue qu'il n'a plus qu'une ambition, celle de parler l'anglais....
Lundi. Un décor pour commencer une nouvelle : Le café des Tuileries.
01
0299v
Benjamin Constant.. Staël
et..
03À cette époque le style n'existait pas, et il a fallu l'exotisme
04 les spectacles inconnus pour éveiller en Chateaubriand et
05
Bernardin de St Pierre les premiers ferments de style
06Dans la tragédie de Racine, je vois comme le squelette psychologique
07 d'un drame
possible, c'est toujours un plan..
08Samedi 7 Janv. Dîner de la Revue Moderne. À table, je me trouve près
09 de
Raffaëlli, un beau profil avec un aimable sourire, de l'ironie un
10 peu voulue
mais qui a son charme, et une moustache hérissée et blonde
11 Il y a Vidal, l'Étonnant Lapauze, des
Méridionaux, Griffin, Varvares
12
Darzens.. quelques mots amusants çà et là,
13
Raffaëlli raconte qu'à Naples, il a baisé une putain en
religieuse
14 et en prières, car comme toujours au dessert on cause bordel
15Raffae avoue qu'il n'a plus qu'une ambition celle de parler l'
16anglais....
17Lundi Un décor pour commencer une nouvelle Le café des Tuileries.
99v
Benjamin Constant.. Staël
etc.
À cette époque le style n'existait pas, et il a fallu l'exotisme, les spectacles inconnus pour éveiller en Chateaubriand et Bernardin de Saint-Pierre les premiers ferments de style.
Dans la tragédie de Racine, je vois comme le squelette psychologique d'un drame possible, c'est toujours un plan..
Samedi 7 janvier. Dîner de la Revue Moderne. À table, je me trouve près de Raffaëlli, un beau profil avec un aimable sourire, de l'ironie un peu voulue mais qui a son charme, et une moustache hérissée et blonde. Il y a Vidal, l'Étonnant Lapauze, des Méridionaux, Griffin, Varvares, Darzens.. quelques mots amusants çà et là, Raffaëlli raconte qu'à Naples, il a baisé une putain en religieuse et en prières, car comme toujours au dessert on cause bordel.Raffaëlli avoue qu'il n'a plus qu'une ambition, celle de parler l'anglais....
Lundi. Un décor pour commencer une nouvelle : Le café des Tuileries.