02Il y a troisdes choses que je peux regarder éternellement sans me lasser
03le ciel, la mer, le feu, et les yeux..
04Curiosité qu'on éprouve au bord de la mer, immense intérêt de la
05 vague, et de ses jeux. Je reste des
heures à contempler cela
06 et j'éprouve la même chose devant le feu, voir brûler, m'intéresse
07 au plus haut point. J'ai remarqué cela aussi che
Vielé
08 et Delorme. Je les ai vus faire brûler des
allumettes par plaisir
09 pour rien....
10Tout est en nous...... dans le feu qui brûle nous voyons surgir se
11 tordre les vagues chimères de notre âme
12Mercredi 4 Janv. J'ai, ce matin, au réveil, la sensations d'avoir erré en rêve
13 à travers des folies, des cocasseries, des sociétés d'un
bourgeoisisme surnaturel
14 et prodigieux, et cette sensation de déséquilibre se fond en la
quotidienne
15 tristesse qui me saisit chaque matin...
16Une nouvelle... La guerre, la grande bousculade du départ...
17 le rapt violent aux goûts de calme et
d'étude.... et surtout un grand
Il y a des choses que je peux regarder éternellement sans me lasser :le ciel, la mer, le feu, et les yeux..
Curiosité qu'on éprouve au bord de la mer, immense intérêt de la vague, et de ses jeux. Je reste des heures à contempler cela et j'éprouve la même chose devant le feu : voir brûler m'intéresse au plus haut point. J'ai remarqué cela aussi chez Vielé et Delorme. Je les ai vus faire brûler des allumettes par plaisir, pour rien....
Tout est en nous...... dans le feu qui brûle nous voyons surgir, se tordre les vagues chimères de notre âme.
Mercredi 4 janvier. J'ai, ce matin, au réveil, la sensation d'avoir erré en rêve à travers des folies, des cocasseries, des sociétés d'un bourgeoisisme surnaturel et prodigieux, et cette sensation de déséquilibre se fond en la quotidienne tristesse qui me saisit chaque matin...
Une nouvelle... La guerre, la grande bousculade du départ... le rapt violent aux goûts de calme et d'étude.... et surtout un grand
02Il y a troisdes choses que je peux regarder éternellement sans me lasser
03le ciel, la mer, le feu, et les yeux..
04Curiosité qu'on éprouve au bord de la mer, immense intérêt de la
05 vague, et de ses jeux. Je reste des
heures à contempler cela
06 et j'éprouve la même chose devant le feu, voir brûler, m'intéresse
07 au plus haut point. J'ai remarqué cela aussi che
Vielé
08 et Delorme. Je les ai vus faire brûler des
allumettes par plaisir
09 pour rien....
10Tout est en nous...... dans le feu qui brûle nous voyons surgir se
11 tordre les vagues chimères de notre âme
12Mercredi 4 Janv. J'ai, ce matin, au réveil, la sensations d'avoir erré en rêve
13 à travers des folies, des cocasseries, des sociétés d'un
bourgeoisisme surnaturel
14 et prodigieux, et cette sensation de déséquilibre se fond en la
quotidienne
15 tristesse qui me saisit chaque matin...
16Une nouvelle... La guerre, la grande bousculade du départ...
17 le rapt violent aux goûts de calme et
d'étude.... et surtout un grand
Il y a des choses que je peux regarder éternellement sans me lasser :le ciel, la mer, le feu, et les yeux..
Curiosité qu'on éprouve au bord de la mer, immense intérêt de la vague, et de ses jeux. Je reste des heures à contempler cela et j'éprouve la même chose devant le feu : voir brûler m'intéresse au plus haut point. J'ai remarqué cela aussi chez Vielé et Delorme. Je les ai vus faire brûler des allumettes par plaisir, pour rien....
Tout est en nous...... dans le feu qui brûle nous voyons surgir, se tordre les vagues chimères de notre âme.
Mercredi 4 janvier. J'ai, ce matin, au réveil, la sensation d'avoir erré en rêve à travers des folies, des cocasseries, des sociétés d'un bourgeoisisme surnaturel et prodigieux, et cette sensation de déséquilibre se fond en la quotidienne tristesse qui me saisit chaque matin...
Une nouvelle... La guerre, la grande bousculade du départ... le rapt violent aux goûts de calme et d'étude.... et surtout un grand